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  • Le chantier de la phase 3 de la promenade Samuel-De Champlain entre dans sa phase finale

    Plusieurs éléments de ce projet d’envergure, dont la Commission de la capitale nationale du Québec assure la maitrise d’œuvre, ont été livrés ou ont progressé de manière significative au cours de la dernière année de travaux.

    La transformation de l’axe routier en boulevard urbain, le déplacement des voies de circulation ainsi que l’aménagement de la piste cyclable et des voies piétonnes ont constitué une part importante de ce chantier majeur. Ces étapes seront réalisées au cours des prochaines semaines.

     

    Les pavillons de services, dont celui des Baigneurs, le plus imposant, situé au cœur de la nouvelle portion de la promenade, sont en voie d’être achevés. La construction et la mise en service du bassin de baignade et des miroirs d’eau, tout comme l’aménagement de la plage de sable, seront finalisés au début de l’été 2023.

     

    À CONSULTER

     

    Cet important chantier avait commencé par la démolition du viaduc ferroviaire, qui traversait auparavant le boulevard Champlain, à la faveur d’un relief aplani. À cet endroit, le boulevard urbain et la piste cyclable sont dorénavant abaissés et rapprochés du fleuve, ce qui permet une meilleure continuité avec l’ensemble des composantes de la promenade ainsi qu’une perspective renouvelée sur le fleuve. Le réaménagement de la voie ferrée au pied de la falaise est en cours de réalisation et sera terminé dans le courant de l’année 2023.

     

    L’inauguration de la phase 3 et de l’ensemble de ses pavillons de services est prévue pour l’été 2023.

     

    Le projet

    Le projet de la promenade Samuel-De Champlain – phase 3, consiste en le réaménagement complet de l’espace situé entre le fleuve Saint-Laurent et la falaise, laquelle s’étend de la côte de Sillery à la côte Gilmour, soit sur un peu plus de 2,5 km. Le budget consacré à sa réalisation est de 193 M$. Pomerleau agit à titre de gérant de construction et le consortium Daoust Lestage – Williams Asselin Ackaoui – Option aménagement a la charge de l’architecture.

     

    Source : SQI

  • 6 octobre 2022
    Par Mathieu Ste-Marie

    Basculement, effondrement, chute de hauteur, électrocution : l’utilisation d’échafaudages comporte des risques importants qui peuvent parfois être fatals. Heureusement, des gestes peuvent être posés par l’employeur et le travailleur pour éviter ces accidents.

    Bon an mal an, quelque 200 accidents de travail impliquant un échafaudage se produisent au Québec, dont la moitié sur des chantiers de construction. Autre statistique marquante : environ un travailleur sur quatre qui est décédé après avoir fait une chute de hauteur utilisait cet équipement indispensable dans le secteur du bâtiment. Lors de certaines tragédies, l’absence d’amarres à la construction, la surcharge des planchers de travail ou la poussée du vent quand les toiles sont utilisées pour protéger les matériaux du mauvais temps sont en cause.

     

    « Il y a trop d’accidents qui sont liés aux échafaudages, c’est pourquoi les employeurs devraient faire appel à des spécialistes pour l’installation de cet équipement. Les travailleurs ne devraient jamais être en danger lorsqu’ils montent dans un échafaud », estime Matthew Atwill- Morin, propriétaire d’Impact Échafaudage qui se spécialise dans la location, la vente, le montage et le démontage d’échafaudages.

     

    Matthew Atwill-Morin, propriétaire d’Impact Échafaudage. Crédit : Gracieuseté

     

    Il est essentiel, pour éviter les risques d’accident, de respecter le Code de sécurité pour les travaux de construction (CSTC). Ce dernier stipule, entre autres, que pour prévenir les dangers d’effondrement ou de renversement, cet équipement doit être amarré solidement à un bâtiment ou à une structure avec des ancrages, sinon au sol avec des haubans. « À partir de 15 pieds de haut, l’échafaudage doit être ancré à une structure. Il faut donc bien connaitre l’état du bâtiment sur lequel on vient s’ancrer pour solidifier notre échafaudage », souligne-t-il.

     

    Comme le prévoit un autre règlement du CSTC, les monteurs s’assurent que les montants métalliques reposent sur des plaques et des madriers. De plus, pour assurer la sécurité des travailleurs, les échafaudages doivent être installés à un minimum de trois mètres des lignes électriques et être munis de garde-corps lorsqu’un risque de chute de trois mètres et plus est possible.

     

    Un équipement en bon état

    Autre élément très important: l’employeur doit être certain que l’échafaudage est en bon état. « Certains échafaudages sont vieux et rouillés, ne sont pas attestés, l’épaisseur de l’acier n’est pas adéquate, les croisillons sont manquants », énumère le propriétaire d’Impact Échafaudage. Dorothée Vallée, ingénieure et conseillère-experte à la CNESST, affirme que l’entreposage de l’échafaudage peut causer sa détérioration. « De façon générale, les équipements entreposés dans une cour à l’extérieur risquent de s’exposer à des agents atmosphériques. Cela peut occasionner de la rouille et d’autres problèmes. L’idéal est de les entreposer à l’abri des intempéries. »

     

    Selon elle, l’échafaudage doit toujours être inspecté avant son utilisation. Il faut porter une attention particulière aux madriers en bois d’oeuvre servant de planchers d’échafaudage qui peuvent présenter certains défauts. Notons que l’accès au plancher doit se faire sans obstacle, par une échelle, un escalier ou l’intérieur du bâtiment. Si l’équipement doit être de bonne qualité, il faut aussi que les travailleurs aient les connaissances requises pour l’utiliser, poursuit-elle. « L’employeur doit prendre le temps de former et d’entrainer les travailleurs sur le montage adéquat et l’utilisation sécuritaire des échafaudages. » « Pour gérer les risques en hauteur, les travailleurs doivent savoir comment s’attacher. Ils doivent aussi avoir de bonnes sangles et de bons harnais en plus de travailler avec le bon type d’ancrage », renchérit Matthew Atwill-Morin.

     

    Comment utiliser l’échelle ?

    Une fois bien installée, l’échelle est fin prête à être utilisée. Toutefois, la prudence reste de mise. Durant la montée ou la descente, le travailleur doit respecter quelques consignes pour éviter les chutes.

     

    Il doit généralement y avoir une seule personne à la fois sur une échelle. Toutefois, certaines échelles sont destinées à être utilisées par plus d’une personne. « Si vous avez besoin de deux personnes pour effectuer une tâche, il serait préférable d’installer des échafaudages ou des appareils conçus et construits pour le levage des personnes », conseille Riane Marss.

     

    La majorité du temps utilisée comme moyen d’accès, l’échelle peut aussi être utilisée comme poste de travail. Dans ce cas, cet équipement doit servir pendant une durée maximale d’une heure. De plus, il faudra prévoir une protection contre les chutes, comme un harnais, si le travailleur est exposé à une chute de plus de trois mètres du sol. Après son utilisation, l’échelle doit être rangée à l’abri des intempéries et horizontalement, sur un support ou installée au mur. Les échelles en bois doivent être entreposées dans un endroit sec et bien aéré, alors que celles en fibre de verre ne doivent pas être exposées à des chaleurs excessives. Au final, si se servir d’une échelle semble fort simple, sa mauvaise utilisation peut mener à des accidents causant des blessures et parfois même la mort !

     

    Bien choisir son échafaudage

    Afin d’assurer la sécurité des travailleurs, l’employeur doit avant tout bien choisir le type échafaudage utilisé, en fonction de sa capacité de chargement, la hauteur d’utilisation sans point d’ancrage, la mobilité du terrain et le nombre de travailleurs qu’il supportera.

     

    Échafaudage modulaire (à rosettes), sur cadre métallique, mobile, à tour et à plateforme, volant, d’étaiement: le choix de ces équipements est, il faut se le dire, très vaste. « Il y a des échafaudages plus complexes que d’autres et il va y avoir plus de règles à mettre en place pour les sécuriser ou les monter, explique Dorothée Vallée. Toutefois, il n’y a pas d’échafaudage dangereux, une fois qu’il est bien monté. La plupart des équipements respectent les normes de l’Association canadienne de normalisation (CSA). »

     

    Si ces équipements sont tous sécuritaires, des précautions spécifiques doivent être prises pour certains d’entre eux. Par exemple, l’échafaudage mobile doit être installé sur une surface ferme, nivelée et libre de tout obstacle. Il doit être muni d’un dispositif de blocage sur les roues permettant de l’immobiliser.

     

    Les échafaudages dont les plateformes sont les plus élevées présentent évidemment un risque de chute mortelle plus important pour les travailleurs, mais peuvent aussi comporter des risques pour les piétons et les cyclistes. « Un échafaudage de 100 pieds monté sur la rue Sainte- Catherine, à Montréal, peut être sécuritaire pour les employés, mais est-ce que les gens autour vont être en sécurité ? Est-ce que des débris vont tomber ? Il faut être capable de gérer le danger pour autrui », souligne Matthew Atwill-Morin. Afin d’éviter ces situations qui peuvent entrainer de sérieuses blessures et même la mort des passants, des filets de protection contre les débris peuvent être utilisés.

     

    UN MADRIER PAS ASSEZ RÉSISTANT CAUSE LA MORT

    En aout 2020, un briqueteur-maçon est décédé après avoir fait une chute d’un échafaudage de 5,73 mètres à Québec. L’homme et son collègue qui a été gravement blessé tombent de leur échafaudage lorsque le plancher de travail, composé de madriers de bois d’oeuvre, cède sous leurs pieds.

    Selon la CNESST, les madriers utilisés comme plancher d’échafaudage n’avaient pas une résistance suffisante pour supporter le poids de l’homme décédé et de son collègue. La Commission recommande l’utilisation de madriers de dimensions minimales de 50 mm sur 250 mm. L’organisme public a aussi souligné que les planchers utilisés doivent être entreposés au sec, à l’abri des intempéries, et faire l’objet d’une inspection visuelle avant leur utilisation.

  • 1 novembre 2022

    L’Institut canadien de la construction en acier (CISC-ICCA) de la région du Québec a célébré le 22e anniversaire des Prix d’excellence de la construction en acier.

    Les équipes québécoises ont été récompensées pour leurs réalisations exceptionnelles en acier, présentant des projets de construction complexes et novateurs par leur beauté, leur unicité et leur originalité. Parmi les candidats, 48 finalistes ont été choisis et un lauréat a été nommé dans chacune des 9 catégories.

     

    Le prix coup de cœur a été remis cette année à l’Amphithéâtre Pierre-Péladeau, réalisé lors de la deuxième phase du CHUM. Ce projet a également été récompensé dans la catégorie Projets Institutionnels – Industriels.

     

    Quant au prix Héritage 2022, il a été décerné à Benoît Drouin, en reconnaissance de sa contribution au succès de l’industrie de l’acier. Pendant de nombreuses années, il a assuré un leadership déterminé avec passion.

     

    La liste complète des lauréats est disponible sur le site de l’ICCA.

     

    Les membres du jury étaient :

    • Anik Girard, MBA, directrice générale et éditrice à Groupe Constructo (Division de TC)
    • Kevin Kwateng, ing., Directeur des opérations manutention, Bellemare Manutention
    • Sébastien Tremblay, Directeur approvisionnement, Proco
    • Adam Korzekwa, ing., Directeur de l’ingénierie, StructureA
    • Jean-François Philippe, Gestionnaire des affaires, CWB
    • Lucia Tirca, ing., Prof. associée et directrice associée – Département de génie bâtiment, civil et environnemental, École d’ingénierie et d’informatique Gina Cody, Université Concordia
    • Danny Lefebvre, Directeur général et directeur de projets, Norgate
    • Francois Desmarais, Directeur géneral, Drytec
    • Marc Burrows, Vice-président, Corbec

     

    Source : ICCA

  • 6 octobre 2022
    Par Elizabeth Pouliot

    Dans quelques mois commenceront à entrer en vigueur la suite des modifications apportées à la Loi sur la santé et la sécurité du travail (LSST) et la Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles (LATMP). À quoi peuvent donc s’attendre entrepreneurs et travailleurs sur le terrain ?

    C’est à la fin des années 1970 que remonterait la dernière métamorphose de la LSST. Celle entrant en vigueur sous peu s’est amorcée en octobre 2020, sous le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale, Jean Boulet. Au Québec, on a confié à la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) l’administration du régime de santé et de sécurité constitué de deux principales lois, la LSST et la LATMP. Comme pour toute modification législative, une demande de modification doit traverser plusieurs étapes et passer entre différentes mains avant de pouvoir être mise en application. Voilà pourquoi les différentes entrées en vigueur de la Loi modernisant le régime de santé et de sécurité au travail (LMRSST) ont commencé en octobre 2021 et s’échelonneront jusqu’en octobre 2024.

     

    Le secteur de la construction est impacté par ces nouvelles modifications, qui interviennent en santé et sécurité, mais aussi sur les aspects de la violence, de l’intégrité psychique ou encore des contaminants et des matières dangereuses. C’est à travers les mécanismes de prévention et de participation que passent principalement ces modifications. Par ces changements plutôt majeurs, il semblerait que le gouvernement cherche surtout à augmenter la sécurité sur les chantiers, évidemment, mais aussi à bonifier la présence et la formation de l’intervenant – ou du comité – attitré à la santé et à la sécurité au travail.

     

    D’agent de sécurité à coordonnateur en santé et sécurité

    Le Code de sécurité pour les travaux de construction (CSTC) prévoyait déjà un agent de sécurité sur les chantiers valant plus de huit millions de dollars (M$) et employant 150 travailleurs et plus, ainsi qu’un comité de chantier (CC) lorsque ce dernier occupe 25 travailleurs et plus. La modification de la loi vise plutôt à embaucher un représentant en santé sécurité (RSS) sur les chantiers de 10 travailleurs et plus. L’ancienne version souhaitait avoir un représentant en prévention (RP), mais cette disposition n’avait jamais été promulguée. Le changement prévu occasionnera aussi la présence d’un coordonnateur en santé et sécurité (CoSS) sur les chantiers de construction valant 12 M$ et plus ou employant 100 travailleurs et plus. Il entrainera également la création d’un comité de chantier sur lesquels se trouveront 20 travailleurs et plus. Une telle disposition apparaissait aussi dans l’ancienne formule, mais était restée non promulguée.

     

    Les RSS seront chargés d’inspecter les lieux, de procéder aux enquêtes et aux analyses en cas d’accidents, de formuler les recommandations au CC ou au CoSS, de soutenir les travailleurs dans leurs droits, d’accompagner les inspecteurs au besoin et de formuler les plaintes à la CNESST, le cas échéant. Le CoSS, quant à lui, participera activement au programme de prévention, coordonnera les activités des employeurs sur le chantier, inspectera aussi les lieux, communiquera aux travailleurs les risques en lien avec leurs tâches, enquêtera sur les éventuels accidents et les analysera, et sera l’accompagnateur des inspecteurs, au besoin. Finalement, le CC, de son côté, devra suivre de près le programme de prévention, coordonner les activités des employeurs sur le chantier et recevoir les suggestions, les plaintes, les copies des avis d’accident et les rapports d’inspection qu’il devra aussi étudier. Le tout entrera en vigueur le 1er janvier 2023.

     

    Efficacité des recours et formation obligatoire

    On a aussi planché sur les recours administratifs dans la refonte de la loi. En effet, la nouvelle mouture prévoit, autant pour les employeurs que pour les travailleurs : « ajouter un délai maximal de traitement pour la révision administrative [anciennement, aucun délai de traitement n’était prévu]; harmoniser la disposition permettant à la CNESST de reconsidérer une décision pour corriger une erreur; et permettre à la personne de demander une révision d’une décision à la CNESST ou de la contester devant le Tribunal administratif du travail [ce choix était jusque-là impossible] ».

     

    La formation aussi se verra bonifiée. Le RSS d’un chantier de 10 travailleurs et plus, les membres du CC d’un chantier de 20 travailleurs et plus ainsi que le CoSS d’un chantier de 100 travailleurs et plus devront tous suivre obligatoirement une formation, et celle de ce dernier représentera 240 heures. « L’exigence d’obtenir une attestation de formation, lorsque requise, entre en vigueur le 1er janvier 2024 », peut-on lire dans un document produit par la CNESST. À noter que cette dernière remboursera les frais d’inscription, de déplacement et de séjour liés à ces formations, disposition prévue dans la LMRSST. D’ici deux ans, bien des changements sont donc à prévoir sur les chantiers québécois, autant pour les employeurs que les travailleurs de la construction. Le gouvernement du Québec et la CNESST ont toutefois prévu le coup et mettent à la disposition des intéressés toute la documentation nécessaire sur leur site Internet.

     

  • Voie de contournement de Lac-Mégantic : la Ville s’entend avec le gouvernement fédéral

    Transports Canada a annoncé qu'une entente de principe a été conclue entre le Gouvernement du Canada et la Ville de Lac-Mégantic pour l'acquisition de parcelles de terrains appartenant à la Ville.

    Ces parcelles sont requises pour la construction de la voie de contournement de Lac-Mégantic. L’entente de principe permettra aux deux parties de préparer l'acte de vente au cours des prochaines semaines.

     

    Évalué à 133 M$, le projet prévoit la construction d’une voie de contournement d’une longueur de 12,5 kilomètres. Il est également prévu de mettre en place deux voies de triage dans le parc industriel de Lac-Mégantic afin de permettre le déplacement des activités ferroviaires de Nantes et de Frontenac à cet endroit.

     

    Source : Transports Canada

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Architectes, ingénieurs, technologues, propriétaires, gestionnaires immobiliers et de projets ainsi qu'étudiants qui souhaitent aborder le contexte réglementaire de la construction au Québec.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation vise à vous montrer comment planifier la conception d’une toiture végétalisée en fonction des avantages recherchés tels que la biodiversité, la gestion des eaux de pluie et l’efficacité énergétique.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Les concepts reliés aux moyens d’évacuation doivent être appliqués pour chaque nouvelle construction. Ces concepts seront expliqués en détail pour les bâtiments qui doivent respecter les exigences de la partie 3 ou de la partie 9 du Code.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation vous permettra de concevoir des cuisines performantes en matière d’efficacité, de découvrir des matériaux écologiques et les nouveautés du marché.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation a pour but de familiariser les participants avec le contenu du plan de gestion BIM afin qu’ils soient en mesure d’appliquer les principes d’élaboration de ce document, de préciser les rôles et responsabilités attribués à chaque membre de l’équipe de projet, d’organiser la collaboration entre les acteurs et d’outiller ceux-ci, ainsi que d’énumérer les objectifs et les usages BIM et de décrire la manière de les atteindre.

  • 25 novembre 2022

    L'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec (APCHQ) - région de Québec a dévoilé les lauréats des prix Galons 2022.

    L’événement a pour objectif de mettre en valeur les réalisations entrepreneuriales humaines, innovantes et environnementales des entreprises en habitation et construction de la grande région de Québec, notamment dans le cadre d'une campagne multimédia.

     

    Les huit entreprises lauréates ont été sélectionnées par un comité de sélection formé de professionnels de l'industrie et se partagent huit catégories :

     

    • Le Galon Engagement communautaire est remis à Construction Thibodeau & Père
    • Le Galon Relève d'entreprise est remis à Idée Tech
    • Le Galon Diversité et inclusion en construction est remis à Freneco
    • Le nouveau Galon Excellence RH est remis à Armoires AD+
    • Le Galon Patrimoine bâti est remis à Menuiserie Daniel Goudreau
    • Le Galon Excellence SST est remis à Richard & Levesque cuisines salles de bain
    • Le Galon Vision durable est remis à Soprema
    • Le Galon Efficacité énergétique est remis à Induktion

     

    Source : APCHQ

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation traite des règles de conception essentielles et des outils à la disposition des concepteurs pour assurer la performance et la durabilité des couvertures.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation avancée s'adresse aux participants qui maîtrisent déjà l'identification et le traitement des pathologies des structures en béton.

  • Durée
    7 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation vous permettra entre autres de vous questionner sur le deuil de cette expertise, en tout ou en partie, pour prendre pleinement possession de votre fonction de gestionnaire.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation présente une grande variété de dommages susceptibles d'affecter les éléments de fondation et de charpente.

  • Durée
    14 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation en mode pratique vous permettra de maîtriser chacune des étapes d’un projet de construction.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    Varennes
    Endroit
    1320, boul. Lionel-Boulet
    Description

    Cette formation présentera les principaux changements apportés par le nouveau Code de l’énergie dans le calcul de la performance énergétique des assemblages. 

    *** Cette formation inclut une visite guidée du laboratoire de UL Solutions du Canada. 

  • Durée
    7 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation s’adresse aux architectes, aux ingénieurs dans les disciplines du bâtiment (ex. : structure), aux consultants spécialisés en bâtiment (ex. : ascenseurs), rédacteurs de devis, donneurs d’ouvrage et à toute personne qui agit comme concepteur ou qui prépare, supervise ou utilise des devis, ainsi qu’à toute personne désirant améliorer ses connaissances sur le sujet.

  • 4 novembre 2022
    Par Mathieu Ste-Marie

    Deux pavillons de l’Université de Montréal seront complètement transformés. Ces réaménagements intérieurs représentent le plus important projet de rénovation d’infrastructures existantes entrepris par l’établissement d’enseignement dans les 50 dernières années.

    Les travaux toucheront environ 22 300 mètres carrés des pavillons Roger-Gaudry et Marie-Victorin, soit l’équivalent de trois terrains de football. Pas moins de 390 M$ seront investis dans ces transformations devenues possibles grâce à la libération des espaces et nécessaires à cause de la vétusté des pavillons construits au milieu du siècle dernier. « C’est un projet important d’un point de vue financier, mais c’est également un projet important pour l’institution et la communauté universitaire, explique le directeur général des projets majeurs d’infrastructure à l’Université de Montréal, Alain Boilard. Le pavillon Roger-Gaudry est le premier pavillon du campus, c’est son pavillon phare. Les gens s’identifient beaucoup à celui-ci. »

     

    Alain Boilard, directeur général des projets majeurs d’infrastructure à l’Université de Montréal. Crédit : Amélie Philibert, Université de Montréal

     

    Aménagement de salles d’enseignement et d’informatique, de laboratoires, de salles pour le travail en équipe et de bureauxnbsp; le pavillon Roger-Gaudry pourra accueillir notamment l’École de réadaptation et l’École d’orthophonie et d’audiologie, la Faculté de médecine ainsi que des bureaux administratifs. Ces nouveaux locaux proposeront un milieu de vie et de travail plus moderne qui intégrera la lumière naturelle et misera sur le décloisonnement de l’espace. De son côté, le projet de réaménagement de l’espace au pavillon Marie-Victorin comprend la création de salles de cours, de salles de réunions et de bureaux administratifs ainsi que de locaux d’un centre de la petite enfance. L’endroit pourra accueillir l’École de travail social, l’École de psychoéducation et des groupes de recherche sur l’inadaptation psychosociale chez l’enfant permettant ainsi de créer un pôle en sciences sociales.

     

    Le pavillons Marie-Victorin, construit en 1959, subit des travaux depuis le mois d’octobre. Crédit : Amélie Philibert, Université de Montréal

     

    Dans les deux pavillons, des mesures durables seront intégrées aux nouveaux aménagement, comme une meilleure ventilation, un système d’éclairage écoénergétique, des appareils de plomberie à faible débit et l’utilisation de matériaux recyclés. Ces travaux visent la certification LEED v4 pour la conception et la construction des aménagements intérieurs.

     

    Une préoccupation patrimoniale

    Toutefois, avant d’y arriver, les défis seront importants, surtout dans le pavillon Roger-Gaudry construit à la fin des années 1920. « À l’époque, les codes de construction étaient différents, tout comme les normes. Il faut adapter nos rénovations aux normes d’aujourd’hui pour s’assurer que tout est sécuritaire pour les usagers », explique Alain Boilard. D’ailleurs, les travaux seront l’occasion de traiter les matériaux contenant toujours de l’amiante, en conformité avec les bonnes pratiques.

     

    Le projet présente des défis également sur le plan architectural. « Nous avons des contraintes avec la trame structurale, avec les fenêtres existantes, la forme de l’immeuble, la mise en conformité. Par exemple, nous ne pouvons pas démolir les colonnes dans les salles de classe, il faut travailler avec. De plus, nous avons dû déplacer certaines trames de corridors pour que notre programme s’intègre bien dans les espaces », indique l’architecte et gestionnaire de projets à l’Université de Montréal, Michelle Beausoleil. D’autre part, les gestionnaires de projet doivent veiller à préserver l’aspect patrimonial des pavillons. Entre autres, des éléments distinctifs de l’architecture de l’époque seront conservés. « Nous n’enlevons pas tout. Nous conservons une bonne quantité de choses qui vont rappeler le bâtiment d’autrefois. Certains murs vont rester en place », explique Alain Boilard.

     

    Michelle Beausoleil, architecte et gestionnaire de projets à l’Université de Montréal. Crédit : Amélie Philibert, Université de Montréal

     

    Peu de travaux seront effectués sur la façade extérieure et donc l’allure des pavillons restera la même en dehors des bâtiments. Toutefois, près de 1 200 fenêtres seront remplacées au pavillon Roger-Gaudry et une nouvelle porte extérieure sera installée. « Nous allons essayer de limiter les interventions extérieures. On va faire attention pour qu’il n’y ait rien de très visible. Les interventions sur Roger-Gaudry sont très surveillées », note Michelle Beausoleil. Le remplacement de ces fenêtres s’avère cependant essentiel pour assurer la réalisation d’économies d’énergie.

     

    Un autre défi sera davantage logistique puisque, comme les activités d’enseignement et de recherche se poursuivent, les travailleurs de la construction devront limiter le bruit et les vibrations au strict minimum. De plus, il faudra installer les clôtures afin que les étudiants, enseignants et le personnel administratif puissent entrer dans le bâtiment sans passer par les zones de chantiers.

     

    Première étape, la déconstruction

    Le projet a été scindé en trois sous-projets distincts, soit le pavillon Roger-Gaudry secteur ouest, le pavillon Roger-Gaudry secteur est et le pavillon Marie-Victorin. Les travaux de déconstruction ont commencé en juin dans le secteur est et en septembre dans le secteur ouest alors que ces travaux se sont amorcés en octobre au pavillon Marie-Victorin. Comme il n’y a pas de démolition, les matériaux pourront être recyclés et réutilisés.

     

    Après cette première étape, l’Université de Montréal ira en appel d’offres cet hiver pour trouver un gérant constructeur. « Ce projet comporte une part de risque. Donc nous voulions d’abord déconstruire pour voir si tout était conforme aux plans, que les devis soient bons. Ensuite, nous pourrons chercher un entrepreneur général », souligne Alain Boilard.

     

    Selon lui, cet imposant réaménagement intérieur devrait se terminer au printemps 2026. D’ici là, le travail ne manquera pas dans ces deux pavillons universitaires.

     

    UN PEU D’HISTOIRE

    Conçu par l’architecte Ernest Cormier, le pavillon Roger-Gaudry a vu sa construction débuter en 1928 pour se terminer en 1943. Selon l’Université de Montréal, ce pavillon est reconnu comme le premier bâtiment moderne du Québec « en raison de l’utilisation du béton, de la verticalité des lignes de la façade et du dépouillement de l’ornementation ». Le bâtiment a été renommé en 2003 en l’honneur du premier recteur laïc de

    l’établissement et qui a mené ce dernier sur la voie de la modernité.

    De son côté, le pavillon Marie-Victorin, conçu par l’architecte Félix Racicot, a été construit en 1959. Avec l’ordonnance symétrique de ses fenêtres, son ornementation classique et sobre et ses longs couloirs, ce bâtiment est représentatif des édifices que l’on retrouve ailleurs au Québec.

     

  • Pomerleau modernisera le centre de maintenance de VIA Rail à Montréal

    VIA Rail Canada a octroyé deux contrats à deux entreprises canadiennes pour la modernisation de ses centres de maintenance de Toronto et de Montréal.

    Les travaux au Centre de maintenance de Toronto seront réalisés par Buttcon Limited, alors que Pomerleau a reçu le contrat pour celui de Montréal.

     

    Cette modernisation permettra à ces centres de devenir le port de base pour l'entretien de 32 nouveaux trains, tout en continuant d'effectuer la maintenance et l'entretien de la flotte actuelle.

     

    Le projet de modernisation des centres de maintenance de Montréal et de Toronto fait partie du programme de remplacement de la flotte du corridor Québec-Windsor, pour lequel 1,5 G$ ont été alloués dans le budget fédéral de 2018.

     

    Les activités de construction commenceront au printemps 2023, avec une date de fin prévue en 2026.

     

    Source : VIA Rail Canada

  • Livraison du projet résidentiel Le Livmore Ville-Marie

    Le centre-ville de Montréal compte maintenant une nouvelle tour d'habitation locative, Le Livmore Ville-Marie, un projet piloté par Conseillers immobiliers GWL.

    Signé par les bureaux d'architectes NEUF et Arcadis IBI Group et réalisé par Les Constructions Reliance, ce nouveau projet résidentiel est situé à l'intersection de la rue de Bleury et du boulevard René-Lévesque. L’immeuble moderne de 35 étages incorpore à sa façade une section du mur original du Collège Sainte-Marie qui s'élevait auparavant au même endroit.

     

    Le Livmore Ville-Marie comporte 396 unités d'habitation d’une superficie variant entre 39 mètres carrés (m2) pour un studio à 114 m2 pour une unité de trois chambres. Les résidents bénéficient de plusieurs espaces communs, tels une terrasse extérieure, une salle d'exercice, une piscine et un sauna, en plus d’avoir accès à une salle de réception, une galerie d'art et une cave à vin. Un espace de cotravail d'une superficie de 186 m2 est également disponible.

     

    Le projet, qui vise une certification LEED, comportera une deuxième phase, laquelle devrait être complétée en 2024. La tour de la phase II comptera 46 étages, 424 unités d'habitation ainsi que des locaux commerciaux au rez-de-chaussée.

     

    Source : Conseillers immobiliers GWL

  • Magog : un projet de sauna flottant à l’étude

    Ce premier sauna flottant à voir le jour en Amérique du Nord serait implanté au quai MacPherson.

    Le projet, piloté par l’entreprise Solstice Sauna, vise la construction de deux saunas d’une capacité de 16 à 18 participants et de deux vestiaires avec une capacité d’accueil de 20 usagers chacun.

     

    D’autres étapes doivent être franchies avant que le projet se concrétise. Parmi celles-ci, notons le processus de modification réglementaire sur les usages conditionnels. On souhaite une ouverture à l’automne 2023.

     

    Source : Ville de Magog

  • Inauguration du nouvel Édifice d'entreposage et de préservation de BAC

    Bibliothèque et Archives Canada (BAC) a souligné l'ouverture de son nouvel Édifice d'entreposage et de préservation à Gatineau.

    Situé à proximité du Centre de préservation, auquel il est physiquement relié, ce nouveau bâtiment est couvert de 416 panneaux de béton dont la texture évoque les couches du sous-sol sur lequel il est construit. Il a été conçu de manière à assurer les conditions de préservation requises pour y conserver des documents pendant 500 ans.

     

    Ses six chambres fortes ont une capacité d'entreposage équivalente à celle de huit piscines olympiques et demie et sont équipées d'un système de rayonnage et de récupération automatisé. Celui-ci est composé d'un élévateur et d'une grue qui permettent de retirer et de replacer les contenants d'archives en toute sécurité.

     

    La construction du nouvel édifice a débuté en aout 2019 et s'est terminée en juin 2022.

     

    Modèle technologique et écologique

    L'édifice est le premier centre d'archivage carbone net zéro en Amérique, la première installation fédérale à usage particulier construite selon les exigences de la Stratégie canadienne pour un gouvernement vert et le plus grand centre d'archivage automatisé au monde.

     

    La construction de l'Édifice d'entreposage et de préservation s'inscrit dans le cadre du projet Gatineau 2, qui comprend aussi le réaménagement de certaines chambres fortes du Centre de préservation ainsi que l'entretien et la gestion des deux bâtiments pendant 30 ans. Le cout de mise en œuvre du projet Gatineau 2 et de construction du nouveau centre d’archivage est évalué à 330 M$.

     

    Source : Bibliothèque et Archives Canada

  • Réaménagement de l’avenue des Pins : une partie du chantier complété

    La Ville de Montréal a annoncé la fin des travaux sur l’avenue des Pins, entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent.

    Le chantier avait pour objectif de remettre à neuf les infrastructures souterraines, d’élargir les trottoirs, de surélever des traverses piétonnes et d’implanter des pistes cyclables unidirectionnelles protégées.

     

    La sécurité des usagers a aussi été améliorée par une mise aux normes de l’éclairage de rue et des feux de circulation. La construction de saillies végétalisées permet également de sécuriser le passage aux intersections.

     

    Enfin, la plantation d'une centaine d'arbres et de 3 900 vivaces contribue à réduire les ilots de chaleur dans le secteur.

     

    Prochaines étapes

    Les travaux de réfection d’infrastructures souterraines et de réaménagement de surface se poursuivront entre le boulevard Saint-Laurent et l’avenue du Parc jusqu’à la fin septembre 2023.

     

    À terme, le projet d’aménagement vise à :

     

    • Mettre à niveau les infrastructures souterraines et de surface ;
    • Améliorer les aménagements piétons ;
    • Sécuriser les voies cyclables ;
    • Contribuer au verdissement du secteur ;
    • Créer des lieux de repos et de socialisation ;
    • Mettre en valeur les édifices patrimoniaux qui bordent l’avenue.

     

    Source : Ville de Montréal

  • Travaux d'envergure au parc Clémentine-De La Rousselière

    L’Arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles souhaite donner un nouveau souffle à ce grand parc riverain.

    Les travaux d’aménagement, d’embellissement et de mise aux normes qui seront réalisés sur une grande partie du site visent entre autres à améliorer les équipements, à augmenter la canopée et à offrir un meilleur accès au fleuve, afin de répondre aux besoins de toutes les générations, en toute saison.

     

    Ces travaux s’inscrivent dans le cadre de la Trame verte et bleue du Grand Montréal et ont été confiés à l’entreprise Construction Vert Dure. Les principaux aménagements sont :

     

    • La plantation d’un grand nombre d’arbres et d’arbustes indigènes en berge et dans la plaine inondable afin de densifier la bande de protection riveraine et de favoriser la biodiversité sur le site;
    • La construction d’une terrasse de bois à partir de laquelle seront installés un quai flottant, des sentiers éclairés avec des percées visuelles ainsi que du mobilier urbain;
    • La construction d’un abri offrant une vue sur la berge et le fleuve;
    • L’aménagement d’un stationnement écologique de 41 places et des bornes de recharge électriques;
    • La bonification des zones de jeux pour enfants par l’ajout d’éclairage, d’un jeu d’eau et la réfection des sentiers pour y accéder;
    • L’intégration d’un espace ouvert pouvant accueillir une scène mobile en période estivale et une patinoire en hiver;
    • La reconstruction des terrains de tennis, l’ajout d’équipements sportifs sur le terrain de balle en bordure du fleuve ainsi que l’amélioration de l’éclairage autour de la patinoire;
    • La création de zones nourricières écologiques.

     

    D’une valeur de 6,7 M$, ce projet bénéficiera d’un investissement de plus de 5 M$ de l’Arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles ainsi que d’un montant de 1,5 M$ provenant, à parts égales, du Gouvernement du Québec et de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) par l’entremise du programme de la Trame verte et bleue du Grand Montréal. Un financement de 150 000 $ est aussi accordé pour la réalisation de zones nourricières écologiques intégrées au parc, dans le cadre du budget participatif 2021 de la Ville de Montréal.

     

    Commencé récemment, le vaste chantier se poursuivra jusqu’à l’automne 2023.

     

    Source : Ville de Montréal

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Mieux se connaitre comme chargé de projet, développer les compétences transversales nécessaires à la gestion de projet et cerner les compétences à développer.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Quel code ou quelle norme s’applique? Est-ce qu’un bâtiment doit être mis aux normes après un certain temps? Est-ce qu’on doit mettre complètement aux normes un bâtiment transformé? Autant de questions qui seront répondues dans le cadre de cette formation.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation s’adresse à ceux qui ont suivi le niveau 1 et qui souhaitent parfaire leur formation et passer maîtres dans l’art de négocier avec finesse avec tous les types de personnalité.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation explique l’investigation de base d’un immeuble en vue de préparer les différents plans d’entretien, les projections des investissements, les mandats d’experts selon le cas ainsi que l’identification des risques à la santé des occupants.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    La conception et la construction de l’enveloppe d’un bâtiment sont déterminantes pour en assurer la longévité la performance et contribuer au confort de ses occupants. La formation vous familiarisera avec les principes fondamentaux de base nécessaires à la compréhension des phénomènes qui influencent sa performance. 

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation vise à découvrir sous un angle différent les jeunes générations pour favoriser la cohésion, la synergie et la complémentarité entre générations.

  • Durée
    14 h sur 2 jours
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation explique la réglementation applicable aux bâtiments construits au Québec : une des rares présentations des lois et des règlements provinciaux qui touchent les bâtiments et les équipements.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Compréhension de base des caractéristiques et propriétés des sols sur lesquels les immeubles et aménagements de génie civil reposent en vue d'identifier les impacts d'un projet de construction ou de réaménagement ou les causes probables d'un désordre observé à une structure.

  • Ottawa bonifie son soutien financier au projet de théâtre jeunesse à Sherbrooke

    Le Gouvernement du Canada accorde une contribution supplémentaire de 2,7 M$ dollars à la Ville de Sherbrooke pour la création d'un nouveau lieu de diffusion attenant au Centre des arts de la scène Jean-Besré.

    Cet investissement, accordé par l'entremise du programme Fonds du Canada pour les espaces culturels, s'ajoute au financement initial de 2,7 M$ octroyé à la Ville de Sherbrooke par Patrimoine canadien en 2017. Le Gouvernement du Canada vient donc doubler son investissement initial, en portant le total de sa contribution à 5,4 M$.

     

    Le ministère de la Culture et des Communications du Québec, la Ville de Sherbrooke et l'organisme Côté scène sont les autres partenaires du projet.

     

    Le projet

    Le projet vise à construire, au centre-ville de Sherbrooke, une nouvelle salle de spectacles de 300 places (1 600 mètres carrés), spécialisée en théâtre et en danse pour les enfants et les jeunes.

     

    Les travaux comprennent l'excavation et la préparation du site ainsi que la construction et l'aménagement des espaces de la nouvelle salle (scène, foyer et billetterie, loges, passerelles, débarcadère, etc.). L'acquisition d'équipements numériques spécialisés, dont des équipements scéniques, sonores, audiovisuels et d'éclairage, est également prévue.

     

    Source : Patrimoine canadien

  • Rapport de consultation publique sur la requalification du 4500, rue Hochelaga

    L'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) a rendu public son rapport sur la requalification du 4500, rue Hochelaga.

    Cette démarche découle d’une demande du conseil d'arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve pour que le conseil municipal de la Ville de Montréal mandate l'OCPM afin qu’il consulte la population montréalaise sur le règlement qui autoriserait la démolition du bâtiment commercial et la construction d'un bâtiment à vocation mixte, développé par un promoteur privé.

     

    12 recommandations

    Le projet est généralement bien accueilli par les personnes ayant participé à la consultation. La commission recommande donc l'adoption du règlement permettant sa réalisation, mais souligne l'importance d'y apporter des modifications. Elle formule 12 recommandations et demande, entre autres, de préciser la modification des hauteurs et des retraits, particulièrement sur l'avenue Bennett.

     

    Le projet

    La construction, en six phases, vise la réalisation d'un projet mixte comportant des bâtiments d'une hauteur variant d'un à dix étages. On annonce la construction de 928 logements répartis en 205 unités locatives, 583 unités privées et 140 unités à vocation coopérative. Le plan prévoit aussi des usages mixtes et un effort de verdissement important.

     

    Source : Office de consultation publique de Montréal

  • La Ville de Québec présente son Programme décennal d’immobilisations 2023-2032

    Les investissements prévus au Programme décennal d’immobilisations 2023-2032 (PDI) de la Ville de Québec s’élèvent à 10,1 G$.

    Plusieurs projets majeurs incontournables seront achevés ou lancés dans les 10 prochaines années, notamment le tramway (3,4 G$), la réfection de postes d’eau potable et d’eaux usées (96,6 M$), les travaux au complexe de valorisation énergétique (98 M$) et la mise à niveau des équipements récréatifs, sportifs et de plein air (78,5 M$).

     

    Dès 2023, les investissements prévus au PDI atteindront près de 1,2 G$, dont 93,8 % seront associés à sa Stratégie de développement durable. À ce montant s’ajouteront des investissements de 87 M$ pour le Réseau de transport de la Capitale.

     

    Le PDI sera également doté de « projets mis à l’étude ». La Ville pourra ainsi établir la réalisation potentielle d’un projet sur un horizon de 10 ans, tout en disposant de la latitude nécessaire pour compléter l’ensemble des étapes préalables à l’établissement d’un budget complet de sa réalisation.

     

    Source : Ville de Québec

  • Un nouveau centre administratif pour la MRC de La Nouvelle-Beauce

    La MRC de La Nouvelle-Beauce a procédé à l’inauguration officielle de son nouveau centre administratif régional.

    Les inondations de 2019 avaient grandement endommagé l’ancien bureau situé au 700, rue Notre-Dame Nord. Après avoir analysé les divers scénarios possibles, les élus avaient choisi de reconstruire le centre administratif régional hors de la zone inondable à Sainte-Marie.

     

    Le bâtiment, situé maintenant au 280, boulevard Vachon Nord, comprend trois étages et regroupe, en plus des services de la MRC de La Nouvelle-Beauce, le point de service de la Société de l’assurance-automobile du Québec, la Chambre de commerce et d’industrie Nouvelle-Beauce, Développement économique Nouvelle-Beauce et, éventuellement, l’Office régional d’habitation Nouvelle-Beauce.

     

    Le cout de construction du centre administratif, conçu par la firme DG3A, totalise 6 909 946 $ et l’achat du terrain se chiffre à 918 641 $.

     

    Source : MRC de La Nouvelle-Beauce

  • Durée
    14 h sur 4 jours
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Professionnels de la construction (architectes, designers d'intérieur, gestionnaires de location) souhaitant approfondir leurs connaissances des parties 3 et 10 du CNB 2010 mod. Qc. spécifiquement pour les réaménagements des aires de plancher existantes.

  • Durée
    9 h sur 3 jours
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Acquérir un cheminement d’analyse spécifique pour aborder la transformation des bâtiments résidentiels visés par la partie 9.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Professionnels de la construction (architectes, ingénieurs, technologues), gestionnaires immobiliers, experts en sinistres (et intervenants dans l’assurances) souhaitant approfondir leurs connaissances de la réglementation applicable lors de travaux de réfection requis après un sinistre.

  • Durée
    7 h sur 2 jours
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Ce cours s'adresse généralement aux architectes et à leur personnel qui préparent des plans pour des demandes de permis dans les arrondissements de Montréal.

  • Organisme
    Association des firmes de génie-conseil - Québec
    Lieu
    Drummondville
    Endroit
    Centrexpo Cogeco
    Description

    Le Forum Géoenvironnement 2023 vise à rassembler les principaux acteurs dans le domaine environnemental afin de favoriser un échange sur des problématiques actuelles.

  • Durée
    6 h
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Assimiler les principaux changements apportés aux exigences des parties 3 et 10 selon l’analyse préliminaire d’un projet.

  • -
    Durée
    14 h
    Organisme
    ÉTS Montréal
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation pratique permet d’apprendre les concepts fondamentaux de la négociation à travers des exemples et mises en pratique. Plusieurs dates sont disponibles. 

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Formobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation aborde la conception hydraulique de nouveaux ouvrages de drainage gravitaire dans l’objectif qu’ils s’intègrent efficacement avec les ouvrages existants.

  • Durée
    2 h
    Organisme
    Formobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation donne tous les outils nécessaires pour faire face à la pandémie et pour que les activités de construction suivent leur cours.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Formobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permet d’acquérir les connaissances et techniques nécessaires pour rédiger des rapports clairs et convaincants.

  • Durée
    2 h
    Organisme
    Formobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation traitera des situations possibles lors de la réception d’un ouvrage, et des étapes subséquentes, du paiement (avec ou sans retenue contractuelle) jusqu’à la fin des travaux qui constitue le point de départ des délais pour tout recours contractuel.

  • Durée
    2 h
    Organisme
    Formobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation correspond à une partie de la formation FOR163 Cautionnement et hypothèque légale en construction (7 heures). Elle permet de reconnaitre les divers types de cautionnement en construction et de connaitre les étapes et les limites du cautionnement.

  • Durée
    2 h
    Organisme
    Formobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation correspond à une partie de la formation FOR163 Cautionnement et hypothèque légale en construction (7 heures). Elle a pour but de reconnaitre les applications des hypothèques légales aux travaux de construction et de rénovation ainsi que de connaitre les conditions préalables et ultérieures à la conservation de l’hypothèque légale.

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