Batiguide

La construction de la station du REM, un projet estimé à 600 M$, sera mené par Aéroports de Montréal et recevra une contribution financière des partenaires suivants :

• Transports Canada investit jusqu’à 100 M$ dans le cadre d’un programme qui vise à aider les grands aéroports, comme annoncé dans l’Énoncé économique de l’automne en novembre 2020;
• Le Gouvernement du Québec, par l’intermédiaire d’Investissement Québec, octroie un prêt d’un montant maximal de 100 M$ à Aéroports de Montréal;
• La Banque de l’infrastructure du Canada fournit un prêt d’un montant maximal de 300 M$ qui s’ajoute à l’investissement précédent de 1,3 G$ qu’elle avait versé pour le projet du REM;
• Aéroports de Montréal fournit jusqu’à 100 M$ en plus de procéder au remboursement des prêts consentis par la Banque de l’infrastructure du Canada et le Gouvernement du Québec.

Le REM est un réseau de train léger sur rail qui est actuellement en construction dans la région métropolitaine de Montréal. Le REM comprendra 26 stations réparties dans la région métropolitaine de Montréal et offrira un service rapide et direct entre le centre-ville de Montréal et l’aéroport international Montréal-Trudeau.

Source : Transports Canada

Les chercheurs du Groupe de recherche en intégration et développement durable en environnement bâti (GRIDD) et de la Chaire de recherche industrielle sur l’intégration des technologies numériques en construction de l’École de technologie supérieure (ÉTS) ont été mandatés pour mener à bien cette étude, dont l’objectif était de mieux comprendre les dynamiques derrière le processus d’innovation et de sa mise en œuvre dans l’industrie.

Les résultats

Une majorité des répondants (77 %) ont indiqué avoir un intérêt fort ou très fort pour l’innovation et l’utilisation des nouvelles technologies dans leurs projets. Également, une majorité de répondants (68 %) a déclaré avoir implanté ou utilisé une ou plusieurs innovations dans leurs projets. Cependant, plus de 50 % des répondants ont indiqué que les aides externes (subventions) et gouvernementales n’étaient pas suffisantes pour permettre aux entreprises de construction d’innover et de mettre en œuvre des technologies dans leurs projets.

Pour les répondants dont les entreprises n’ont pas mis en œuvre une innovation technologique, les principales raisons de l’absence d’innovation étaient :

• Le manque d’expérience en la matière (16 %);
• Les contraintes de temps (14 %);
• L’absence de bénéfices clairs (12 %);
• Un contexte contractuel défavorable à la mise en œuvre des innovations (11 %).

Le sondage portait également sur l’utilisation de la construction hors site (CHS) dans l’industrie québécoise de la construction. Selon les répondants :

• La CHS a un impact soit positif ou très positif sur le cout total de la construction;
• La CHS a un impact soit positif ou très positif sur l’échéancier lors de la phase de réalisation, de même que sur l’échéancier global du projet.

L’étude conclut en soulignant que le virage numérique et la construction hors site sont vus par plusieurs répondants comme étant les avenues les plus prometteuses pour améliorer de façon tangible la productivité et la création de valeurs pour ce secteur névralgique de l’économie québécoise. Elle mentionne également que le client doit être l’élément moteur ou facilitateur de la mise en œuvre de l’innovation technologique.

Source : Association des constructeurs de routes et grands travaux du Québec (ACRGTQ)

En 2017, la Ville de Montréal, en collaboration avec l’Arrondissement de Ville-Marie, a lancé le projet de réaménagement, en réalisant notamment des travaux d’aménagement de la Place Pasteur et de la cour du transept de l’église Saint-Jacques. Le projet se poursuit cette année avec les travaux de réaménagement suivants :

• La rue Sainte-Catherine, entre les rues Saint-Denis et Berri;
• La rue Saint-Denis, entre le boulevard Maisonneuve et la rue Sainte-Catherine.

Les travaux de réaménagement de la phase 2A, qui s’élèvent à plus de 10 M$, débuteront au printemps 2021 et se termineront à l’été 2022. Ils visent notamment le verdissement et des espaces publics signature, l’élargissement des trottoirs et l’ajout d’un revêtement en pavés de béton.

Source : Ville de Montréal

La nouvelle caserne a été érigée à l’intersection des routes 122 et 259. D’une superficie de 689 mètres carrés, le nouveau bâtiment comprend notamment quatre portes de garage, un espace destiné au séchage des boyaux, une salle de formation et un bureau administratif.

De plus, la nouvelle caserne possède des espaces adaptés pour les pompières et les pompiers. En effet, un vestiaire de 20 casiers, une buanderie et une salle de bain avec douches y ont été installés.

Un soutien financier de 980 785 $ a été accordé à la Municipalité pour la réalisation des travaux dans le cadre du programme de Réfection et de construction des infrastructures municipales. À ce montant s’ajoute une contribution de 528 115 $ de la Municipalité, pour un investissement totalisant 1 508 900 M$ à la suite de cette entente provinciale-municipale.

Source : Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

Située en face du nouveau campus MIL de l’Université de Montréal, l’école, qui aura une orientation scientifique, pourra accueillir jusqu’à 652 élèves dès 2024, répartis dans 32 classes. Elle sera aménagée à côté d’un grand parc de quartier qui pourra être utilisé par les élèves.

Initialement envisagé à proximité de la cour de voirie et des voies de chemin de fer, le site de la future école a été déplacé pour être intégré au cœur du nouveau développement. Un échange de terrains entre la Ville de Montréal et l’Université de Montréal, ainsi que la concertation de tous les partenaires, de même que le soutien financier du ministère de l’Éducation, ont permis d’intégrer ce nouveau projet d’école.

Le CSSMB prévoit que certains espaces de l’école puissent être également utilisés par les citoyens. La conception du parc devrait débuter dans les prochains mois et prévoit une démarche de participation citoyenne.  Comme pour toute modification règlementaire de ce type, le projet sera soumis à l’OCPM dans les prochains mois.

Source : Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif

Ce projet, qui s’inscrira dans une vision intégrée du transport collectif dans la grande région de Québec, permettra notamment de relier deux futurs secteurs innovants à l’est et à l’ouest de la ville de Québec, soit la future zone d’innovation du Littoral Est et un futur quartier innovant aux abords du terminus Le Gendre. La desserte des banlieues, quant à elle, sera désormais assurée par un projet distinct piloté par le ministère des Transports en étroite collaboration avec la Ville de Québec.

Les détails de ce nouveau projet et du projet de tramway de même que la vision gouvernementale des transports dans la grande région de Québec feront l’objet d’une annonce ultérieure à laquelle la Ville de Québec participera, lorsque la situation sanitaire le permettra.

L’autorisation gouvernementale rendue publique aujourd’hui permet ainsi à la Ville de Québec de sécuriser l’échéancier lié à la mise en service complète du tramway, planifiée en 2027.

Source : Cabinet du ministre des Transports

Conçu et fabriqué en atelier, le centre d’entrainement a été assemblé à partir de 10 conteneurs maritimes modifiés. Ce projet a été réalisé en collaboration par les quatre filiales du Groupe SM Tardif. SM Construction a effectué la modification des conteneurs alors que Pagui s’est occupée de l’électricité. Tardif Métal a fourni la structure de métal du projet ainsi que les métaux ouvrés.

L’aménagement de ces conteneurs servira pour plusieurs types d’exercices et de manœuvres pratiqués par le service d’incendie de la Ville de Trois-Rivières.

Source : Groupe SM Tardif

De deux étages et d’une superficie de 1 319 mètres carrés, le campus sera situé sur le boulevard de l’Ange-Gardien et pourra accueillir 350 étudiants par année.

Le chantier se mettra en branle en mai 2021, piloté par l’entrepreneur général Corporation Icodev. L’architecte Alain Richer ainsi qu’Induktion Groupe Conseil participent également au projet.

Une contribution financière de la MRC de L’Assomption de l’ordre de 50 000 $ ainsi que la collaboration de la Ville de L’Assomption et du Centre régional universitaire de Lanaudière ont facilité l’implantation du nouveau Campus de l’UQTR à L’Assomption, dont le cout est estimé à près de 5 M$. Ce dernier devient ainsi le quatrième établissement de l’UQTR à recevoir le statut de campus après ceux de Trois-Rivières, Drummondville et Québec.

Source : Université du Québec à Trois-Rivières

Le mandat qui sera attribué concerne principalement la conception du projet. Il mènera à l’élaboration de l’étude d’avant-projet ainsi qu’à la préparation des plans et devis qui permettront de procéder ensuite aux appels d’offres pour la réalisation des travaux de construction.

Le nouveau projet comprend :

• L’élargissement de la route 341, entre l’autoroute 40 et la route 344 (rang du Bas-de-L’Assomption Nord), afin d’obtenir une configuration à quatre voies de circulation;
• Le réaménagement des intersections de la route 341 avec la route 344 et le rang du Bas-de-L’Assomption Sud;
• La reconstruction du pont d’étagement de la route 341, au-dessus de l’autoroute 40, pour une configuration à quatre voies de circulation;
• La reconstruction du pont de Bailleul, au-dessus de la rivière L’Assomption, en vue d’offrir une configuration à cinq voies de circulation.

Ce projet, dont la réalisation sera accélérée par l’adoption de la Loi concernant l’accélération de certains projets d’infrastructure, permettra à terme d’améliorer la fluidité dans l’axe de la route 341 dans les secteurs de L’Assomption, de L’Épiphanie et de Repentigny.

Source :  Cabinet du ministre des Transports

Les sommes investies dans cette région se répartissent comme suit :

• 98 147 000 $ pour des chaussées en bon état;
• 244 697 000 $ pour des structures en bon état;
• 153 139 000 $ pour un réseau efficace et sécuritaire, notamment pour donner suite à des recommandations du Bureau du coroner;
• 1 597 000 $ pour le maintien en bon état de structures et de ponceaux situés sur des emprises ferroviaires abandonnées.

Parmi les projets majeurs annoncés, mentionnons l’élargissement de l’autoroute Laurentienne (73), en direction nord, entre le boulevard Jean-Talon Ouest et la rue de la Faune; la réfection de l’autoroute Henri-IV (73) et de trois structures entre le chemin Saint-Louis et le pont Pierre-Laporte; et l’asphaltage de trois secteurs de la route 367, à Saint-Raymond.

Source : Cabinet du ministre des Transports

Une semaine après l’ouverture des soumissions de trois firmes régionales, les membres du conseil municipal ont accordé le contrat à l’entreprise saguenéenne Cegerco, qui a présenté la soumission la plus basse à 21 797 000 $, taxes exclues.

Le projet, qui s’exécutera en six phases, devrait prendre fin en janvier 2023.

Source : Ville de Saguenay

Un contrat de 4 041 619,27 $, taxes incluses, a en effet été octroyé à l’entreprise Cusson-Morin Construction pour les travaux de restauration et d’aménagement de la berge des Baigneurs. La réfection du parvis de l’église Sainte-Rose-de-Lima et celle du stationnement à proximité de l’école Villemaire marqueront le début de la première phase des travaux.

La revitalisation dont ce site fera l’objet se traduira par des aménagements mieux adaptés aux besoins des visiteurs en matière de mobilité, de sécurité et de pratique d'activités ainsi que par un accès facilité aux lieux et à la rivière des Mille Îles.

Source : Ville de Laval

Après l’annonce de l’installation du bureau de Laval de Deloitte et des sièges sociaux de MONTONI et de Groupe Sélection dans le nouveau complexe, cinq bannières de restauration ont confirmé leur arrivée au même moment où l’ouverture du bureau de location résidentiel a été officialisée.

Avancement des travaux

Pour ce qui est du déroulement des travaux, trois principales sections du projet ont été complétées ou sont en voie de l’être :

• Section 1 - Édification des assises du projet, soit la construction du stationnement souterrain de 1 400 cases (reliant le projet au réseau souterrain de Montréal par la station de métro Montmorency) et d’un basilaire commercial de 13 935 mètres carrés (m²) érigé sur deux étages : la structure du stationnement est terminée.
• Section 2 - Élévation des tours 1 et 4 qui accueilleront les espaces résidentiels totalisant plus de 700 unités sur 58 993 m² : la structure des tours 1 et 4 sera terminée d’ici six semaines, ce qui leur conférera leur pleine hauteur.
• Section 3 - Construction de la tour 2 qui comptera 32 516 m² d’espaces de bureaux et de la tour 3 qui inclura un hôtel de 180 chambres : le tiers de la structure de la tour 2 est achevé.

Certification LEED v4 AQ niveau Or

Par ailleurs, le projet vient de récemment se voir octroyer la certification LEED v4 AQ de niveau Or pour l’aménagement des quartiers, ce qui en fait le quatrième complexe au pays à recevoir ce niveau de certification dans cette catégorie. Les partenaires visent également une certification LEED Or et LEED Platine pour le noyau et l’enveloppe des différents bâtiments.

Le projet

Imaginé par l’équipe de Sid Lee Architecture, Espace Montmorency est un projet multifonctionnel regroupant plus de 700 unités résidentielles ainsi que des locaux pour bureaux et des espaces commerciaux répartis dans des tours faisant entre 5 et 18 étages. Sa livraison est prévue pour l’automne 2022, au terme de travaux évalués à un peu plus de 450 M$.

Source : Espace Montmorency

Ces travaux, dont la mise en œuvre a déjà débuté pour certains parcs, doivent être complétés d’ici la fin des classes, afin de permettre à la population, particulièrement les tout-petits, d’en profiter pleinement.

Parcs Alfred-Dorais, Elmridge, Philippe-Bonneau et Vincent

De nouveaux jeux d’eau, d’une surface minimale de 300 mètres carrés, seront installés aux parcs Alfred-Dorais (boul. Primeau), Elmridge (rue Elmridge), Philippe-Bonneau (rue Craik) et Vincent (rue de Carillon). Chaque parc possédera son propre thème, respectivement la nature, le nautisme, les formes et couleurs, les pirates, ainsi qu’une attraction majeure. Cet attrait s’ajoute à une vingtaine de jets au sol, des équipements hors sol, des arches, des tapis et des éléments particuliers. Tous les jeux d’eau seront munis de contrôleurs intelligents qui assureront une consommation écoresponsable de cette précieuse ressource.

Seront également construites aux parcs Elmridge et Vincent, plus tard dans l’été, des installations sanitaires.

Parcs de Concord, Georges-Étienne-Cartier et Vincent

Outre les jeux d’eau, des modules de jeux pour enfants seront installés aux parcs de Concord, Georges-Étienne-Cartier et Vincent, ce dernier bénéficiant également de nouveaux jeux d’eau.  Chaque module de jeux sera divisé en deux zones, soit une section pour les petits (18 mois à 5 ans) et une autre pour les enfants âgés de 5 à 12 ans. Là encore, chacun des sites sera caractérisé par un thème particulier : la nature, le monde médiéval et les pirates, en continuité avec le thème de la nouvelle zone aquatique.

Travaux en 2021

Les nouvelles structures remplaceront ou seront ajoutées à celles déjà en place. Chaque installation de jeux d’eau représente un investissement de 625 000 $, pour un total de 2,5 M$. Les modules de jeux pour enfants constituent chacun un investissement de l’ordre de 350 000 $, pour un total avoisinant 1 M$. À ces sommes s’ajoutent les montants alloués pour la construction des bâtiments sanitaires (100 000 $ par installation), ce qui porte l’ensemble de l’investissement à environ 3,8 M$.

Source : Ville de Châteauguay

La Phase II de la Cité de la Biotech est prête à accueillir des entreprises du secteur des sciences de la vie, principalement dans les biomédicaments (vaccins, anticorps, protéines, thérapies cellulaires). Pour ce projet de développement, Laval anticipe des investissements de plus d’un milliard de dollars, la création de 7 500 nouveaux emplois au cours de la prochaine décennie.

Il s’agit d’un chantier majeur pour Laval puisque cette expansion permettra de répondre à une forte demande d’espace dans le secteur des biotechnologies – la pandémie a effectivement accentué la demande pour ce secteur névralgique. La Phase II de la Cité de la Biotech permettra de rassembler les entrepreneurs, les chercheurs et les employés qui pourront se rencontrer autour d’un même site, ce qui favorisera l’innovation.

Laval dispose de deux programmes de crédit de taxes offerts aux propriétaires d’immeubles désirant entreprendre d’importants travaux de construction. Les terrains de la Cité de la Biotech sont admissibles à ces programmes.

La Cité de la Biotech en bref

• 5 500 emplois dans plus de 110 entreprises et institutions opérant dans un rayon de 3 km;
• La présence du Centre québécois d’innovation en biotechnologie (CQIB), premier incubateur en biotech au Canada créé il y a 25 ans;
• La présence du Centre Armand-Frappier Santé Biotechnologie de l’INRS;
• L’accès à un important bassin de talents;
• Plus de 4,5 G$ d’investissements privés depuis 2001;
• 4 000 nouveaux emplois créés depuis 2001;
• Un parc scientifique de 1,3 million de mètres carrés;
• Des sociétés internationales telles que Sanofi, GSK, Servier, Bausch Health, Roche, Servier, Charles River, Altasciences et Bio-K+.

Source : Ville de Laval

Située au coin des rues Sainte-Catherine et Mansfield, cette nouvelle tour résidentielle de 19 étages au style néo-classique abritera 248 unités résidentielles.

Les futurs résidents bénéficieront d’un centre d’entrainement, d’un lounge avec un foyer, d’un bar à vin, d’un simulateur de golf, de salons intérieurs et d’une piscine à débordement extérieure.

De plus, le projet inclura un spa ainsi que des locaux adaptés au télétravail et des salles de conférence. Des espaces commerciaux sont également prévus dans les étages inférieurs de l’immeuble.

Pour développer un projet qui s’inspirera des différentes vocations du 1228 Mansfield au cours des décennies, le Groupe Brivia a fait appel aux services de la firme d’architectes Béïque Legault Thuot Architectes (BLTA). Ainsi, des rappels architecturaux du Théâtre Loew’s, qui a grandement contribué à la scène culturelle montréalaise de 1919 à 1999, ont été inclus dans le design du projet. 

Une mise en chantier est prévue dès l’été 2021. L’occupation des premières unités devrait avoir lieu en 2024.

Source : Groupe Brivia

Il s’agit de la première étape vers le réaménagement complet et pérenne de la portion commerciale de l’artère, qui sera réalisé sur un horizon de cinq ans.

Ce concours, qui invite la communauté de designers à proposer une identité renouvelée à la rue Notre-Dame, entre la 6^e Avenue et la 19^e Avenue, vise à créer une identité forte qui proposera des aménagements inclusifs et conviviaux, et contribuera à la résilience écologique et à la relance économique.

Une conjoncture favorable

Avec le développement du futur quartier exemplaire Lachine-Est, du parc riverain, et devant la nécessité de procéder à la réfection des infrastructures de la rue Notre-Dame au cours des prochaines années, une conjoncture favorable permet d’imaginer un projet d’avenir pour cet axe commercial historique. Ces travaux comprennent la reconstruction des infrastructures d’égout et d’aqueduc, ainsi que l’enfouissement des fils de distribution d’électricité par Hydro-Québec.

Par ailleurs, au cours des prochaines années, Hydro-Québec prévoit agrandir son poste de transformation à Lachine, le poste Rockfield, pour répondre aux besoins futurs en électricité de l’arrondissement, incluant le futur écoquartier de Lachine-Est.

Les modalités

Les résultats du concours serviront à la création d’un « cahier des possibles » qui permettra de baliser les discussions lors de la démarche de concertation avec les acteurs du milieu, en vue du réaménagement de la rue commerçante et du centre-ville de Lachine.

Plus largement, le concours cherche également à stimuler l’intérêt du milieu pour la vitalité des rues commerciales montréalaises et leur rôle dans les quartiers, dans un contexte de transformation importante du commerce de détail.

Les propositions devront s’articuler autour des quatre objectifs suivants :

• Stimuler la vitalité commerciale de la rue Notre-Dame;
• Créer une identité forte, qui fait écho au caractère historique du Vieux-Lachine;
• Proposer des aménagements inclusifs et conviviaux;
• Réaménager la rue selon les principes de résilience sociale, économique et environnementale.

Ce concours d’envergure internationale est ouvert aux professionnelles et aux professionnels de toutes les disciplines du design et mènera à une sélection de trois lauréats par un jury. Il invite à la composition d’équipes d’au moins deux personnes spécialisées dans le design urbain.

Source : Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif

Ces nouvelles installations de 6 968 mètres carrés quintupleront la capacité de production de l’entreprise. La construction du complexe devrait s’amorcer cet été pour une livraison prévue à la fin de 2022 dans l’Espace d’innovation Michelet, un parc technologique de nouvelle génération. Le bâtiment deviendra également le nouveau siège social de Coractive.

Ce projet de relocalisation et d’expansion est possible grâce au soutien financier du Gouvernement du Québec, par le biais du Fonds du développement économique, dont Investissement Québec est le mandataire, et d’Investissement Québec, par le biais de ses fonds propres (deux prêts égaux totalisant 16,34 M$), de Desjardins Entreprises–Québec-Portneuf (prêt de 16 M$) et de la Ville de Québec (subvention de 1 M$) à travers le programme Vision entrepreneuriale Québec 2026.

Source : Coractive
 

Situé à l’angle des boulevards des Récollets et Jean-XXIII, ce projet de 13 M$ vise la construction d’un immeuble de quatre étages abritant 101 unités résidentielles.

La firme Blouin Tardif architectes a élaboré les plans du futur bâtiment. Une mise en chantier est prévue en 2022, pour une livraison à l’été 2023.

Source : Unité de travail pour l’implantation de logement étudiant (UTILE)

Conçue initialement pour une population d’environ 14 000 citoyens, les nouvelles installations pourront désormais en desservir près de 20 000. L’agrandissement permettra ainsi l’aménagement d’une salle multifonctionnelle, d’une salle de réunion en plus d’offrir de l’espace supplémentaire pour l’animation des plus jeunes et un coin réservé aux adolescents.

Les travaux visent également l’amélioration du système de ventilation et de climatisation ainsi qu’une mise à niveau des loges de la salle de spectacles Bon-Pasteur de la Maison de la culture, faisant partie du bâtiment d’origine.

Afin de réaliser les travaux, qui s’échelonneront sur une période de 15 mois, un contrat de 7,45 M$ a été octroyé à l’entreprise Construction Béton 4 Saisons. Le design architectural a été élaboré par le Groupe A / Annexe U, conjointement avec la firme d’ingénierie LGT. On prévoit ouvrir les portes de la nouvelle bibliothèque pour la rentrée scolaire 2022.

Source : Ville de Rivière-du-Loup

Les tabliers des deux ponts, sur lesquels les véhicules circulent pour se rendre d’une rive à l’autre, seront démolis, puis reconstruits à neuf. La démolition et la reconstruction des ponts seront effectuées par étapes.

De plus, certaines des structures en béton qui se trouvent sous les ponts seront réparées. Des travaux de réfection aux éléments structuraux de l’évacuateur de crues de l’aménagement de Rapide‑7 sont prévus. Des travaux seront aussi faits sur la vanne télécommandée et le mécanisme de levage de la centrale.

L’appel d’offres pour Rapide-2 publié prochainement

Déjà, des travaux préparatoires ont été effectués l’automne dernier par l’entreprise Industries Blais de Rouyn-Noranda pour le cout de 370 000 $. Cinq maisons situées à proximité des aménagements de Rapide‑7 et de Rapide‑2 ont ainsi été mises à niveau et transformées en bureaux de chantier pour le personnel d’Hydro‑Québec et les entreprises mandatées.

Les réfections majeures sur la centrale Rapide-7 sont à l’horaire de 2021. L’investissement est de l’ordre de 39 M$, uniquement pour cette unité. Les travaux ont été confiés à Pomerleau.

On s’affaire déjà à la mobilisation des équipes et à la préparation du chantier pour la réparation des structures en béton d’une première section de l’évacuateur de crues ainsi que pour la démolition et la reconstruction de la rampe en acier et béton de la rampe d’accès.

Pour ce qui est des interventions à Rapide-2, l’appel d’offres serait lancé prochainement.

Source : Hydro-Québec

Les travaux, qui s’amorcent aujourd’hui même, devraient être terminés d’ici l’automne 2022. Le projet représente un investissement de 33,6 millions de dollars.

Cette maison alternative sera située sur le terrain de l’Hôpital de Val-d’Or, sur l’avenue des Érables. Elle sera constituée de quatre unités de vie de 12 places chacune, destinées aux adultes ayant des besoins spécifiques.

Ce milieu de vie a été conçu pour rappeler davantage ce qu’est un domicile, notamment grâce à une organisation plus conviviale des espaces intérieurs et extérieurs, qui seront mieux adaptés aux besoins des résidents et de leurs proches. 

Il est à noter que le nombre de places prévues dans ce projet a été déterminé par un croisement des plus récentes données de la liste d’attente en hébergement avec les projections du nombre de places supplémentaires qui seront requises dans les prochaines années en raison du vieillissement de la population.

Rappelons que, dans le cadre de sa démarche de transformation des milieux d’hébergement et de soins de longue durée, le Gouvernement du Québec s’est engagé à créer plus de 3 468 places sur l’ensemble du territoire par le développement de maisons des ainés et alternatives, et ce, grâce à des investissements de 2,4 milliards de dollars. Quelque 2 600 places doivent être livrées d’ici 2022.

Source : Cabinet de la ministre responsable des Aînés et des Proches aidants

Situé sur l’ancien site du Domaine Renaissance, dans l’arrondissement de Saint-Léonard, ce projet est composé de deux bâtiments de sept étages ainsi que d’un bâtiment de trois étages avec rez-de-jardin abritant 26 maisonnettes sur deux niveaux, comprenant quatre chambres chacune. Le projet de 197 unités permettra de loger une centaine de familles puisque la moitié des logements possèdent trois chambres et plus.

La livraison de cet ensemble s’inscrit dans le développement et la consolidation de tout un quartier résidentiel avec espaces commerciaux de plus de 900 unités, en conformité avec la Stratégie d’inclusion du logement abordable dans les grands projets. Ce projet permettra de revitaliser et de créer un tout nouveau milieu de vie dans un secteur où la Ville a déjà fait de nombreuses interventions en matière de salubrité.

Fruit d’une mobilisation communautaire

L’Arrondissement de Saint-Léonard et les acteurs sociaux et communautaires du secteur ont pris part à la concrétisation de ce projet, notamment par le biais d’une démarche de Revitalisation urbaine intégrée (RUI) et avec l’accompagnement du groupe de ressources techniques (GRT) Bâtir son quartier. En tout, plus de 10 années de travail ont été investies pour arriver à ce résultat.

Réalisé par le Groupe Mach et Construgep, le projet a requis la création de six nouveaux lots privés et d’une nouvelle rue publique dans le prolongement de Jean-Nicolet, ainsi que la démolition de 21 immeubles (336 logements) en mauvais état.

Les locataires qui vivaient dans les immeubles à démolir, sur le futur lot de la coopérative, ont été relocalisés hors site et sur le site dans quelques immeubles à démolir dans des phases ultérieures du projet.

Le programme AccèsLogis Montréal s’inscrit dans l’entente-cadre intitulée Réflexe Montréal entre le Gouvernement du Québec et la Ville de Montréal. Ainsi, la Ville, par l’intermédiaire de ce programme, consent une subvention de plus de 26 M$ pour la construction de cet ensemble immobilier, dont 6 M$ sont remboursés par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) parle biais du Fonds du logement social, auquel contribuent 82 municipalités. La Ville garantit également le prêt hypothécaire de plus de 17 M$ contracté par la coopérative.

Sources : Ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, Ville de Montréal et Société d’habitation du Québec

Situé au 300, place Charles-Le Moyne, au cœur du nouveau Longueuil, le projet comprendra 273 unités résidentielles locatives et 2 600 mètres carrés d’espaces commerciaux et de bureaux, dont 2 323 seront occupés par le siège social du Groupe KO. La superficie brute de construction hors sol atteindra 29 000 mètres carrés.

Les travaux de construction de l’immeuble de 22 étages incluant deux niveaux de stationnement souterrain seront assurés par Pomerleau. Ils débuteront à l’été 2021 pour se poursuivre jusqu’à l’été 2023.

Une approche humaniste

Favorisant une mixité d’usage, ce complexe multigénérationnel a été développé avec une approche humaniste où l’aménagement des espaces a été conçu pour maximiser une abondance d’éclairage naturel.

Les locaux pour bureaux pour les locataires seront personnalisés, deux terrasses sur le toit seront accessibles aux occupants, en plus d’une salle d’entrainement, d’une piscine intérieure et de voitures en libre-service. Un restaurant de type café-traiteur prendra place au rez-de-chaussée. On y retrouvera également un cinéma, une cuisine collaborative et 240 espaces de stationnement intérieur et extérieur. Quatre maisonnettes urbaines sur rue de deux étages compléteront l’ensemble.

Une efficacité énergétique a été recherchée en maximisant l’ensoleillement et l’éclairage naturel dans les espaces intérieurs ainsi que la limitation des ilots de chaleur en minimisant les surfaces minéralisées

Outre Pomerleau, le projet réunit les firmes Forme Studio Architecture, Albert Gestionnaire Immobilier, L2C (structure), Énergère (mécanique/électrique), Marchand Houle (civil), WSP (enveloppe du bâtiment), Version Paysage (aménagement paysager), MJM Acoustique et Clairoux (design d’intérieur).

Sources : LSR GesDev et Fonds immobilier de solidarité FTQ

L’édifice, d’une superficie de 2 712 mètres carrés, accueillera un espace d’innovation unique au Québec et au Canada. Celui-ci comprendra un atelier de travail, des laboratoires à la fine pointe de la technologie, une salle de prototypage, des aires de dynamomètres ainsi que des bureaux administratifs.

De plus, l’IVI sera construit selon des normes visant à assurer les meilleures pratiques d’efficacité énergétique, tandis que le recours à des matériaux locaux durables comme le bois sera priorisé pour sa construction.

Ce projet d’une valeur de 14,3 M$ a reçu une aide gouvernementale de 12,7 M$ de la part du ministère de l’Économie et de l’Innovation, par le biais du volet 4 – Soutien au financement d’infrastructures de recherche et d’innovation du Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation.

Source : Cégep de Saint-Jérôme

Ce projet, dont l’investissement s’élève à plus de 70 M$, offrira 240 unités inscrites dans la vision SmartLiving, une sous-marque née il y a quelques années et qui vise à créer des quartiers fonctionnels et stratégiquement situés afin de maximiser le bonheur d’y vivre. Le chantier serait livré à l’été 2022.

En plus des espaces de vie fonctionnels et contemporains d’une, deux ou trois chambres, les résidents trouveront à leur disposition une piscine, un espace pour l’entretien des vélos, une salle de poste et de colis adaptée à la nouvelle réalité du commerce électronique, un espace de cuisine professionnelle annexé à une salle de réception, un gymnase, une terrasse, un lounge avec espaces de travail partagés, de même que des espaces de stationnement intérieurs et extérieurs.

Source : Cogir Immobilier

L’Ouvrage prendra place sur la rue Saint-Georges dans une usine anciennement occupée par l’entreprise Germain et Frère, dont deux sections sont en cours de démolition, soit un appartement et un garage. Éventuellement, ces espaces accueilleront un nouveau quai de chargement pour les entreprises locataires.

Bien qu’il ait connu des délais liés à la pandémie, le projet avance rondement. Les travaux s’accéléreront au cours des prochains mois afin de permettre l’installation des premiers occupants en 2022.

Le centre d’innovation agroalimentaire accueillera des acteurs travaillant en symbiose autour de trois volets, soit la transformation, l’expérimentation et la commercialisation de produits agroalimentaires. À terme, un peu plus de 2 787 mètres carrés seront disponibles à la location.

Source : Innovation et Développement économique Trois-Rivières

Le nouveau bâtiment sera érigé en face de cette salle, sur un terrain vacant appartenant à Oka, près de l'intersection de la route 344 et de la rue Saint-Jean-Baptiste. Il couvrira une superficie d'environ 818 mètres carrés, répartis sur deux niveaux.

Le rez-de-chaussée de l'édifice sera entre autres doté d'une salle modulaire, de bureaux administratifs et de locaux d'archives, d'une salle de réunion, d'une cuisine ainsi que d'une toilette publique. Au sous-sol, on retrouvera également des espaces de rangement et des locaux pour les organismes communautaires et le service des loisirs. Quant à la bâtisse désuète de la salle des loisirs, elle sera détruite pour laisser place à un deuxième stationnement de 29 places. L'ensemble des travaux devrait se terminer à la fin de l'été 2022.

Source : Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l'Habitation

Le comité exécutif a en effet autorisé EJP Construction à amorcer des travaux de préparation du site et d’excavation sur un lot appartenant à la Ville, situé entre la rue Hochelaga, l’avenue Souligny et les rues A.-A.-Desroches et Honoré-Beaugrand, dans le quartier de Tétreaultville. Cette étape initiale consiste en la construction d’un immeuble de 67 logements sociaux et communautaires, ce qui représente 24 % des unités d’habitation projetées.

Les négociations se poursuivent entre la Ville et l’entrepreneur pour une vente de gré à gré des trois lots contigus à celui où sera situé l’immeuble de logements sociaux et communautaires, ce qui permettrait de compléter le complexe immobilier.

Source : Ville de Montréal – Cabinet de la mairesse et du comité exécutif

Ces projets viendront s’ajouter aux réalisations de 2019-2020, notamment l’implantation des entreprises Transport Louis Pouliot, Lalonde & Brient (Phase 1 - Condos industriels) et Matériaux Pont-Masson :

BRONA TRANSPORT

Première phase de 40 000 pieds carrés d’un complexe industriel qui pourrait en comprendre jusqu’à quatre.

• Début des travaux : été 2021
• Investissement : 4,1 M$
• Création de nouveaux emplois : 20

COMPLEXE INDUSTRIEL (CONFIDENTIEL)

Construction d’un bâtiment industriel regroupant les activités d’un centre de distribution, de vente en ligne et d’entrepôt d’un leader québécois dans son domaine d’activité.

• Début des travaux : printemps 2021
• Investissement : 42 M$
• Création de nouveaux emplois : 350

FRARE & GALLANT

Phase 1 : construction d’un bâtiment de 421 000 pieds carrés pour un début des activités à l’automne 2022. Phase 2 : prévue pour 2022-2023 pour la construction d’un bâtiment d’une envergure similaire (superficie, investissement et création d’emplois).

• Début des travaux : juillet-aout 2021
• Investissement : 45 M$
• Création de nouveaux emplois : 400 (phase 1)

FIT VENTURES

FIT Ventures, en partenariat avec Rosefellow, débutera la construction d’un premier centre de distribution de 400 000 pieds carrés. Un deuxième bâtiment d’une superficie similaire devrait voir le jour en 2022 ou 2023.

• Début des travaux : aout 2021
• Investissement : 42 M$
• Création de nouveaux emplois : 350 (phase1)

BECTEX

Construction d’un bâtiment industriel pour la production de textiles.

• Début des travaux : été 2021
• Investissement : 1,5 M$
• Création de nouveaux emplois : 5-10

LALONDE-BRIENT

Finalisation du projet de la rue Urgel-Charette par la construction d’un bâtiment de 15 000 à 20 000 pieds carrés.

• Début des travaux : automne 2021
• Investissement : 1,5 à 2 M$
• Création de nouveaux emplois : 10-20

KDM

Construction d’un bâtiment industriel de 75 000 à 125 000 pieds carrés pour implanter un centre de distribution.

• Début des travaux : automne 2021
• Investissement : 7,5 à 12,5 M$
• Création de nouveaux emplois : 50-75

Source : Ville de Beauharnois

À partir des plans réalisés par la firme Rayside Labossière architectes, la Municipalité souhaite créer un espace qui permettra de faire cohabiter tous les aménagements nécessaires à la mise en place de la bibliothèque municipale ainsi qu’une salle de spectacle pouvant accueillir plus d’une centaine de personnes, des expositions et des résidences d’artistes.

Le projet est actuellement prévu en deux phases. La première phase inclut la mise en place d’un espace fonctionnel pour la bibliothèque (rayonnage, éclairage intégré, etc.) tout en intégrant un nouveau comptoir d’accueil qui servira à la fois pour la bibliothèque et les événements culturels. La seconde phase du projet prévoit l’intégration de mobilier et de parois multifonctionnelles qui serviront à transformer le lieu en espace d’expositions. L’aménagement du chœur ainsi que l’éclairage général de l’espace seront également complétés.

Source : Municipalité de Saint-Norbert

Groupe Canam s’est associé aux Architectes Odette Roy et Isabelle Jacques, WSP et BonairSD pour réaliser ce projet. Selon l’échéancier, les travaux des fondations débuteront dans la semaine du 3 mai et ceux de la charpente métallique, vers le 21 juin. Le bâtiment devrait être étanche à la fin du mois d’aout pour le début des travaux intérieurs, qui se poursuivront jusqu’à l’été 2022.

Le centre multifonctionnel sera construit entre la route 173 et l’aréna actuel. Le projet réalisé permettra la tenue d’activités sportives, récréatives et communautaires et inclura une patinoire de 85 sur 200 pieds pouvant accueillir 600 spectateurs, dont 350 places assises et 250 debout.

Une section de restauration avec vue sur la patinoire, sept vestiaires de joueurs et un vestiaire d’arbitres seront situés à proximité du pro-shop et de nombreux rangements pour les organismes. Une salle multifonctionnelle conçue pour loger 250 personnes et une zone de jeu pour enfant, une salle de conférence de même que des bureaux administratifs feront également partie des éléments distinctifs du bâtiment.

Rappelons que la Ville de Saint-Joseph-de-Beauce a obtenu une subvention de 6 533 332 $ des deux paliers de gouvernement dans le cadre du Fonds des petites collectivités du Fonds Chantiers Canada-Québec.

Source : Ville de Saint-Joseph-de-Beauce

Le premier projet de 1,4 M$ concerne le terrain de soccer dont le gazon sera remplacé par une surface synthétique multifonctionnelle. Le terrain sera également équipé d’un nouveau système d’éclairage.

Le deuxième projet, chiffré à 2,3 M$, concerne la patinoire extérieure située au parc des Fondateurs de Stoneham. La Municipalité a choisi de non seulement ajouter un toit à la patinoire, mais aussi d’installer un système de réfrigération de la glace. Les bandes actuelles seront restaurées et un éclairage aux DEL sera installé. 

Source : Municipalité de Stoneham-et-Tewkesbury 

Cette première phase, qui se traduit par des investissements de 10 M$, vise l’implantation d’une zone de manutention multimodale destinée aux fertilisants, au sel de route ainsi qu’à la cargaison générale. Des chemins d’accès y seront également aménagés, de même que des bureaux, des zones d’entreposage extérieur et un poste de service d’une entreprise spécialisée en transport hors norme.

Les travaux commenceront le 3 mai et se poursuivront jusqu’à la fin aout. La prochaine étape des investissements de QSL à Sorel‐Tracy consistera en la construction du terminal maritime et en l’installation d’un quai flottant. Cette phase en est à l’étape de la pré‐ingénierie. Au total, les deux phases du projet représentent des investissements de 20 M$ sur cinq ans.

Source : QSL

Ce quartier résidentiel à vocation mixte, situé à la croisée de l’avenue des Belles-Amours et du boulevard du Centre-Hospitalier, sera composé de jumelés, de cottages, de plex et de complexes multilocatifs.

D’ici les 20 prochaines années, le Quartier des Pionniers comptera près de 8 000 portes sur un terrain de plus de 4,1 millions de mètres carrés. Le site sera aménagé afin de mettre en valeur les facilités du secteur, comme des espaces verts, parcs et pistes cyclables. 

La construction des résidences sera confiée à SMB Dallaire, partenaire en construction résidentielle du Groupe Dallaire, qui lui sera responsable de la construction et de la gestion des complexes multilocatifs.

Source : Groupe Dallaire

Cet ajout d’espace permettra d’accueillir les élèves du pavillon Saint-Gabriel, dont les installations et la localisation, en bordure de la route 132, ne répondent plus aux normes de sécurité.

Le ministère de l’Éducation du Québec a accordé un peu plus de 10,8 M$ au Centre de services scolaire de Sorel-Tracy afin, notamment, de couvrir le cout des travaux s’élevant à plus de 11,4 M$. Le contrat de construction a été accordé à l’entrepreneur Le Groupe Drumco Construction.

Source : Centre de services scolaire de Sorel-Tracy

En plus des 180 000 documents de la bibliothèque, comprenant notamment la plus grande collection de BD des Bibliothèques de Montréal, de nouvelles ressources s’y ajouteront, comme l’atelier du bédéiste, le laboratoire scientifique et culinaire, le laboratoire informatique, le centre d’apprentissage, le libre-service, des consoles de jeux vidéo, le prêt de portables et de tablettes iPad sur place.

Quant à la nouvelle signature architecturale, elle sera le fruit d’un concours d’architecture pluridisciplinaire remporté par le consortium Anne Carrier architecture / Labonté Marcil.

Des investissements de plus de 44,9 M$ seront nécessaires pour la réalisation de ce projet, répartis conjointement entre la Ville de Montréal, le ministère de la Culture et des Communications ainsi que l’Arrondissement de LaSalle, via le programme de rénovation, d’agrandissement et de construction de bibliothèques (RAC).

Source : Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif