Pratiques et innovations
23 septembre 2011
La Chaire en paysage et environnement de l’Université de Montréal (CPEUM) confirmait récemment l’inscription de 578 firmes de design urbain au concours international d’idées YUL-MTL : Paysages en mouvement.
Ce succès de participation témoigne d’un réel intérêt pour le développement de visions stratégiques d’aménagement du parcours d’entrée de ville de Montréal reliant l’aéroport international Montréal-Trudeau (YUL) au centre-ville de Montréal (MTL) dans le corridor de l’autoroute 20. Selon Philippe Poullaouec-Gonidec, titulaire de la CPEUM, « ce concours international d’idées laisse présager la réception de propositions d’aménagement de très haut calibre pour le bénéfice de Montréal ! ».
La provenance variée des firmes professionnelles inscrites confirme le caractère international de l’initiative avec 192 participants d’Amérique du Nord, dont 80 en provenance uniquement du Québec, 17 d’Afrique, 87 d’Amérique centrale et du Sud, 46 d’Asie, 202 d’Europe, 21 du Moyen-Orient et 12 d’Océanie.
Rappelons que la CPEUM a été mandatée par le ministère des Transports du Québec pour assurer l’organisation du concours et pour soutenir la planification de cette démarche concertée mettant en interaction les membres d’une table de travail pour l’entrée de ville de l’autoroute 20 qui regroupe les principaux acteurs publics et privés responsables de la planification dans le corridor du parcours d’entrée de ville de l’autoroute 20. Les propositions reçues serviront d’appui pour l’élaboration d’orientations à privilégier en matière d’aménagement afin d’assurer la cohésion de ce territoire.
Dévoilement des lauréats
Les personnes inscrites ont jusqu’au 7 octobre 2011 à 17 h (HAE), pour remettre électroniquement leurs propositions. Le dévoilement des lauréats se fera à la fin octobre 2011.
Toutes les propositions admissibles seront diffusées sur le site internet du concours et feront l’objet d’une exposition au printemps 2012 dans le cadre du 5e anniversaire de Montréal Ville UNESCO de design.
Source : Chaire en paysage et environnement de l’Université de Montréal
