BâtiGuide - Le répertoire des professionnels de la construction au Québec

Affichage des résultats 201 - 250 de 74951
  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation vise à montrer comment planifier la conception d’une toiture végétalisée en fonction des avantages recherchés tels que la biodiversité, la gestion des eaux de pluie et l’efficacité énergétique.

  • Durée
    6 h
    Organisme
    Technorm
    Lieu
    En ligne
    Description

    Assimiler les principaux changements apportés aux exigences des parties 3 et 10 selon l’analyse préliminaire d’un projet.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation vise à augmenter les compétences et l’efficacité des personnes participant à l’évaluation, à la maintenance et à l’entretien des couvertures, afin de leur permettre d’en optimiser la durée de vie et la performance.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation présente les qualités esthétiques et les avantages environnementaux des murs végétaux.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation présente une grande variété de désordres susceptibles d'affecter les éléments de fondation et de charpente. 

  • Vaudreuil-Dorion : aide financière accordée pour la construction d’une caserne de pompiers

    Le Gouvernement du Québec a annoncé l’octroi d’une aide financière de 4,5 M$ au projet de construction d’une nouvelle caserne de pompiers à Vaudreuil-Dorion.

    Les travaux consistent à détruire le bâtiment actuel de la caserne 11, située sur la route de Lotbinière, pour y construire une nouvelle caserne. Elle aura une superficie d’environ 1 900 m2 répartis sur deux niveaux. Le rez-de-chaussée comprendra notamment une aire de garage avec portes, un vestiaire, quatre bureaux, une salle de formation et de mesures d’urgence ainsi que des salles de rangement. Au deuxième étage seront entre autres aménagés une salle polyvalente, deux dortoirs, une aire de repas, un espace de repos et une cuisine, en plus d’une terrasse.

     

    Ce projet est aussi celui de la Municipalité de Pointe-des-Cascades, qui sera également desservie par la nouvelle caserne.

     

    Rappelons que Vaudreuil-Dorion a de plus bénéficié pour ce projet d’une aide financière de 3 993 432 $, répartie à parts égales entre les gouvernements du Canada et du Québec, dans le cadre du Fonds pour l’infrastructure municipale d’eau.

     

    Source : Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

  • Un projet d’électrification de la communauté de Kitcisakik verra le jour

    Hydro-Québec et le Conseil des Anicinapek de Kitcisakik réaliseront un projet d’électrification du village situé en bordure du réservoir Dozois.

    En collaboration avec Kitcisakik, Hydro-Québec met sur pied un comité technique chargé de déterminer les solutions optimales pour assurer la réussite du projet. Celui-ci prévoit la construction d’une ligne de transport à 25 kV entre le poste de Louvicourt et le village, ainsi que d’un réseau local de distribution au sein de la communauté.

     

    Ces travaux d’envergure nécessiteront plusieurs mois d’ingénierie, d’études et de construction. Le comité technique suivra de près les différentes étapes pour optimiser leur réalisation dans les meilleurs délais possibles.

     

    Les couts de conception et de construction des équipements, qui seront connus plus tard, seront assumés entièrement par Hydro-Québec.

     

    Parallèlement, le Secrétariat aux affaires autochtones du Québec (SAA) soutiendra les membres de la communauté de Kitcisakik dans l’adaptation de leurs résidences au nouveau réseau électrique. À cet égard, le SAA prévoit financer les travaux qui rendront les installations conformes aux normes actuelles. Les bâtiments communautaires seront quant à eux raccordés au futur réseau local avec l’aide de Services aux Autochtones Canada.

     

    Le projet, appelé Animiki Ickote, signifie « électricité » en Anishnabe et devrait être terminé dans 36 à 48 mois.

     

    Source : Hydro-Québec

  • Les travaux progressent pour l’aménagement du bloc endoscopique de l’Hôpital de Montmagny

    Le Gouvernement du Québec a procédé à une mise à jour concernant les travaux qui mèneront à l’aménagement du nouveau bloc endoscopique à l’Hôpital de Montmagny.

    Le projet consiste en l’aménagement d’un bloc endoscopique dans des locaux adjacents au bloc opératoire. Cette nouvelle unité comprendra deux salles polyvalentes qui permettront de réaliser des examens endoscopiques digestifs, de la bronchoscopie, des cytoscopies, des bilans urodynamiques ainsi que des chirurgies mineures, de même que des aires d’attente ainsi que six civières de préparation et de récupération.

     

    Cet aménagement inclut également une unité de retraitement des endoscopes répondant aux normes les plus récentes. Les travaux ont débuté en novembre dernier et seront complétés à 95 % en juin 2022. La phase 2 s’échelonnera ensuite de juin à aout 2022.

     

    Sur le plan financier, ce projet représente un investissement global de 3,5 M$, financé à hauteur de 2 M$ par le ministère de la Santé et des Services sociaux. La Fondation de l’Hôpital de Montmagny apporte pour sa part une contribution de 1 M$, et le solde de 500 000 $ est assumé par le Centre intégré de santé et de services sociaux de Chaudière-Appalaches.

     

    Source : Cabinet du ministre de la Santé et des Services sociaux

  • Un investissement de 26,6 M$ pour la création d’une nouvelle institution culturelle à Montréal

    Les gouvernements du Québec et du Canada ont annoncé des investissements de 26 645 740 $ pour la création de PHI Contemporain, une nouvelle institution culturelle située au cœur de l’est du Vieux-Montréal.

    Les travaux comprendront notamment la restauration de plusieurs bâtiments patrimoniaux, dont la maison Du Calvet et la maison Louis-Viger, ainsi que la construction d’un nouvel immeuble sur un terrain vacant. Ces immeubles sont situés dans le site patrimonial de Montréal déclaré en 1964.

     

    En plus d’abriter des studios ainsi que des locaux de médiation et de recherche, PHI Contemporain offrira des lieux adaptés pour accueillir des expositions et des œuvres en nouveaux médias immersifs.

     

    Dans le cadre de ce projet, le Gouvernement du Québec investit plus de 13,3 M$. Le Gouvernement du Canada investit également plus de 13,3 M$ par l’entremise du volet Infrastructures communautaires, culturelles et récréatives du Programme d’infrastructure Investir dans le Canada.

     

    Source : Cabinet de la ministre de la Culture et des Communications

  • Pelletée de terre du projet La Maison Lavande

    Le nouveau bâtiment industriel de l’entreprise familiale La Maison Lavande sera construit dans l’Innoparc Albatros de Saint-Eustache.

    Cette construction, d’une superficie totale de 5 767 mètres carrés (m2) érigée sur deux étages, regroupera les divers départements de l’entreprise sous un même toit et comprendra entre autres une zone de production de 1 341 m2, des espaces administratifs de 882 m2 ainsi qu’une section d’entreposage de 2 601 m2.

     

    Conçu par l’architecte Jean-François Dupuis, l’immeuble respectera les nouvelles normes en matière d’économie d’énergie, notamment avec sa fenestration abondante et ses murs rideaux.

     

    Le bâtiment, qui sera construit par Syscomax, sera livré en décembre 2022.

     

    Source : Syscomax

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation est axée sur 2 blocs principaux. Le premier bloc concerne la méthodologie détaillée pour l’implantation d’un programme d’entretien préventif. Le second bloc concerne les méthodes et les principes de gestion de maintenance applicables.

  • Durée
    3,5 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Pouvoir reconnaître des sources d'infiltration d'eau dans une couverture et connaître les outils d'investigation.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Compréhension de base des caractéristiques et propriétés des sols sur lesquels les immeubles et aménagements de génie civil reposent en vue d'identifier les impacts d'un projet de construction ou de réaménagement ou les causes probables d'un désordre observé à une structure.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    Contech bâtiment
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation énumère toutes les étapes d’un processus d’inspection de grands bâtiments.

  • Un prix d’excellence de la construction en béton pour le nouveau complexe hospitalier de Québec

    Lors de la troisième édition des Prix d’excellence de la construction en béton de l’American Concrete Institute (ACI) - Section du Québec et de l’Est de l’Ontario, le centre intégré de cancérologie (CIC) du nouveau complexe hospitalier de Québec a remporté les honneurs dans la catégorie « bâtiment de moyenne hauteur ». 

    La structure du CIC est principalement constituée de dalles bidirectionnelles supportées par des colonnes et des murs en béton armé. L’ossature de certains secteurs du bâtiment se démarque par son épaisseur qui peut atteindre jusqu’à deux mètres. Cette importante quantité de béton garantit la protection contre les radiations émises par les équipements médicaux.

     

    La construction en mode BIM a, entre autres, permis de faciliter la coordination des éléments structuraux complexes, comme les détails de joint de coulée entre le béton conventionnel et celui de radioprotection.

     

    L’équipe de projet était composée de la Société québécoise des infrastructures, du Groupe AES architecture environnement santé, du consortium Cima+/Stantec ainsi que des entreprises Pomerleau, Coffrage LD et Demix Béton.

     

    Le CIC réunit l’ensemble des services en cancérologie de L’Hôtel-Dieu de Québec et de l’Hôpital de l’Enfant-Jésus incluant, par exemple, des services de radio-oncologie, de traitements oncologiques (chirurgies, hémato-oncologie, curiethérapie, etc.) et un cyclotron. 

     

    Source : Société québécoise des infrastructures

  • Saint-Bruno-de-Montarville : consultation publique pour choisir l’emplacement du futur complexe multisport

    La Ville de Saint-Bruno-de-Montarville lance une consultation publique afin de sonder la population sur l’emplacement du futur complexe multisport.

    La Ville présente deux lieux pour la construction du complexe multisport, soit le parc Marie-Victorin et l’école secondaire du Mont-Bruno.

     

    Les couts de construction sont actuellement estimés à 59 M$ pour l’école secondaire du Mont-Bruno et 55 M$ pour le parc Marie-Victorin.

     

    Source : Ville de Saint-Bruno-de-Montarville

  • Organisme
    CERIU
    Lieu
    Drummonville
    Description

    Les États généraux de l’espace public est un évènement ouvert à toutes les disciplines intervenant dans l’espace public (ingénieurs, urbanistes, RTU, élus, dirigeants municipaux, chercheurs, citoyens, etc.). 

  • -
    Organisme
    CERIU
    Lieu
    Québec
    Endroit
    Centre des congrès de Québec
    Description

    Congrès abordant des thématiques telles que la gestion des eaux, les infrastructures de surface, les techniques sans tranchée, les infrastructures souterraines et les aménagements urbains.

  • Saint-Gobain investit dans son usine en Montérégie

    Saint-Gobain, par l’intermédiaire de sa filiale de produits de construction CertainTeed Canada, a annoncé son intention d’investir 91 M$ dans son usine de gypse de Sainte-Catherine.

    Le projet consiste à moderniser les équipements de l’usine de fabrication de panneaux muraux et à réduire ses émissions de carbone jusqu’à 44 000 tonnes métriques/an, créant ainsi la première usine de cloisons sèches zéro-carbone en Amérique du Nord.

     

    La mise à niveau des équipements réduira également la consommation d’énergie du site de 30 %, tout en augmentant la capacité de production de l’usine de 40 %.

     

    L’usine effectuera également la transition vers une alimentation uniquement par l’électricité renouvelable d’Hydro-Québec.

     

    Ce projet bénéficie d’une aide financière de 40 M$ provenant du programme ÉcoPerformance du Gouvernement du Québec.

     

    La construction devrait commencer à l’été 2023 et les nouveaux équipements seront mis en service fin 2024.

     

    Source : Saint-Gobain

  • Prolongement de l’autoroute 25 à Sainte-Julienne : une nouvelle étape franchie

    L’appel d’offres qui permettra la réalisation des travaux de construction de la première phase du projet, soit le réaménagement de la route 125, dans le secteur urbain de Sainte-Julienne, a été publié.

    Ces interventions, qui seront entreprises dès cet été, assureront notamment une meilleure sécurité et fluidité des déplacements dans le secteur grâce à la reprogrammation complète des feux de circulation, à l’ajout de voies exclusives de virage à gauche ainsi qu’à l’aménagement de traverses piétonnes.

     

    Le projet global de prolongement de l’autoroute 25 et d’amélioration de la route 125 est composé de trois lots distincts :

     

    • Lot 1 : réaménagement de la route 125 dans le secteur urbain de Sainte-Julienne;
    • Lot 2 : contournement de Sainte-Julienne par la construction d’une route nationale à quatre voies (deux voies par direction);
    • Lot 3 : construction d’une route nationale à quatre voies, dans le prolongement de l’autoroute 25 (deux voies par direction).

     

    Source : Cabinet du ministre des Transports

  • 2022, une année charnière pour le REM

    Le REM devra franchir une série de jalons déterminants pour assurer la mise en service de l’antenne allant de Brossard à la Gare centrale à l’automne 2022.

    Opération simulée

    Depuis environ un mois, soit de mai à juin 2022, les équipes de tests des systèmes ont laissé le plancher aux équipes d’opération et de maintenance pour la phase appelée « opération simulée ».  Cette phase consistait à simuler le futur service, sans passagers, et à tester la capacité des équipes à effectuer les opérations courantes, dans différents contextes.

     

    Groupe PMM – Opération et Maintenance – l’entité responsable de l’opération et de la maintenance du réseau pour les 30 prochaines années – simulait lors de cette étape une série de journées typiques de service dit « normal », avec des fréquences de service de passage des voitures allant de 2,5 à 10 minutes. Les équipes effectuaient également des simulations en mode « dégradé », consistant à simuler chaque jour, de manière aléatoire, un dysfonctionnement ou une panne qui pourrait survenir.

     

    Fin des travaux d’électrification

    Cet été, durant environ un mois, les trains seront complètement arrêtés afin de permettre à NouvLR, consortium chargé des infrastructures, de terminer les travaux sur les voies comme les travaux d'électrification, notamment.

     

    Élargissement de la zone d’essais jusqu’à Montréal

    Une fois le travail d’électrification de l’antenne complété, les premières voitures du REM pourront enfin réaliser la grande traversée du pont Samuel-De Champlain, puis atteindre L’Île-des-Sœurs et le sud de Montréal. Cette étape se déroulera à l’été et à l’automne 2022.

     

    Groupe PMM répétera les essais dynamiques, mais cette fois-ci, pour un tout nouveau segment plus étendu. Les appareils de voies, les composantes électriques, tous les systèmes et technologies, notamment aux stations Île-des-Sœurs et Gare Centrale, pourront enfin être testés en étant commandés depuis le centre de contrôle de Brossard. C’est aussi durant cette période que d’autres essais pourront être réalisés, comme des simulations de services d’urgence.

     

    Marche à vide

    La dernière étape avant la mise en service est appelée la « marche à vide » (ou marche à blanc). Pendant environ un mois, le véritable service commercial sera mis en place, toujours sans voyageurs. L’ensemble des systèmes seront alors opérationnels et les voitures circuleront à la fréquence et aux horaires prévus pour la mise en service.

     

    Viendra alors le jalon d’acceptation du système ferroviaire tout entier par REM. Pour ce faire, les équipes d’opération et maintenance devront avoir atteint des taux de fiabilité du système de 95 % au minimum. Ce jalon d’acceptation est nécessaire avant de mettre en service le REM.

     

    La mise en service

    Après avoir franchi toutes les étapes ci-dessus, la mise en service sera planifiée pour l’automne 2022.

     

    Source : Réseau express métropolitain - REM

  • LOGISCO entame la construction de son troisième hôtel à Québec

    LOGISCO investit 20 M$ dans un nouveau concept hôtelier longue durée à Québec, Home2 Suites par Hilton.

    L’hôtel de six étages sera situé à proximité de l’Aéroport international Jean-Lesage. Il offrira, dès juin 2023, 107 chambres pour les séjours de longue durée.

     

    Chaque suite sera dotée d’une cuisine complète, d’un bureau de travail et d’un espace de type salon. L’hôtel comprendra aussi une piscine intérieure, une salle d’entrainement, deux terrasses extérieures avec BBQ, un dépanneur, une buanderie ainsi qu’un service de café 24/7.

     

    À noter que le bâtiment intègrera un système mesurant l’utilisation de l’énergie, la consommation d’eau, les déchets et la production de carbone pour aider à minimiser son impact environnemental.

     

    Source : LOGISCO

  • Les travaux de la MDA de Rivière-au-Renard vont bon train

    Débutés il y a 11 mois, les travaux de la maison des ainés (MDA) et alternative de Rivière-au-Renard progressent rondement.

    Sur le site, les ouvriers s’affairent à habiller le bâtiment de son enveloppe extérieure. La pose de la toiture est également en cours.

     

    Géré par la Société québécoise des infrastructures (SQI), ce projet proposera à la population 48 places en chambre individuelle avec toilette et douche adaptées. La maison des ainés et alternative sera constituée de quatre unités de vie de 12 places chacune.

     

    ​L’équipe de projet est composée des firmes suivantes :

    • Architecture : Consortium Gagnon | Letellier | Cyr | Richard | Mathieu | Proux | Savard
    • Génie civil et structure : Stantec | Cima+ | LGT
    • Génie mécanique et électrique : Stantec | Cima+ | LGT
    • Entrepreneur général : Habitat Construction

     

    Source : SQI

  • 9 juin 2022
    Par Yannick Forget, sociétaire

    Dans une décision rendue récemment, la Cour supérieure a réitéré l’importance de transmettre une mise en demeure préalablement à l’institution d’un recours en dommages suivant l’exécution fautive de travaux.

    Faits

    Dans cette affaire[1], la Coopérative de solidarité en habitation Carpe Diem (« Coop ») octroie un contrat pour les travaux de démolition de l’église Sainte‑Bernadette-Soubirous, située dans le secteur Lauzon à Lévis, à CFG Construction inc. (« CFG ») à la suite d’un appel d’offres public. Ces travaux s’inscrivent dans le cadre du projet de construction d’un ensemble d’habitations dont sera propriétaire la Coop, mais qui sera construit par un autre entrepreneur lors d’une autre phase des travaux.

     

    Les documents d’appel d’offres en lien avec les travaux de démolition prévoient que « l’entrepreneur a la possibilité de concasser les matériaux de béton et de pierre de maçonnerie pour les utiliser sur place comme matériaux de remblayage ». Il est également mentionné que « l’acier d’armature doit être retiré du béton concassé et évacué hors du site ».

     

    Les travaux de démolition et de remblayage se sont terminés à la fin du mois de mars.

     

    Dès le 3 avril, l’entrepreneur chargé de l’excavation pour les travaux de construction constate la présence de grosses masses de béton, de morceaux de maçonnerie, de blocs de terracotta, de tuyaux de fonte, de barres d’armature, de pièces métalliques pouvant mesurer jusqu’à cinq pieds de long et de morceaux de bois.

     

    Il se plaint alors de la mauvaise exécution des travaux de démolition et de remblayage.

     

    CFG se défend en avançant que les normes d’Environnement Québec prévoient une tolérance de 1 % quant à la présence de matériaux non conformes, que la zone où les matériaux indésirables ont été retrouvés se situe à l’extérieur de la zone des travaux et qu’aucune mise en demeure lui enjoignant de retirer les matériaux ne lui a été transmise.

     

    Décision

    Le tribunal détermine que les spécifications des plans et devis ont préséance sur les normes d’Environnement Québec. Ce faisant, le remblayage de l’acier d’armature et des autres éléments identifiés aux documents d’appel d’offres était proscrit.

     

    Le tribunal conclut également que des matériaux indésirables se trouvaient dans la zone de travaux de CFG. Cette dernière ne répondait donc pas aux exigences contractuelles.

     

    Cependant, le tribunal conclut que CFG n’a jamais été mise en demeure de corriger ses travaux. CFG a reçu une liste de déficiences de la part des professionnels sept jours après la découverte du déblai illégal. Un représentant de CFG s’est rendu sur les lieux le lendemain et a nié les reproches qui lui étaient adressés. Ce dernier alléguait alors que les travaux étaient conformes.

     

    À ce moment, la décision avait déjà été prise de confier les travaux correctifs à l’entrepreneur responsable des travaux de construction afin de ne pas retarder le chantier et d’éviter d’avoir deux entrepreneurs généraux sur le même chantier. De ce fait, aucune mise en demeure de reprendre les travaux n’a été transmise à CFG.

     

    À la lumière de la preuve qui lui a été présentée, le tribunal a déterminé qu’il n’y avait pas de situation d’urgence permettant de passer outre l’obligation de transmettre une mise en demeure. De plus, CFG n’avait pas manifesté son refus d’effectuer les travaux correctifs; situation qui aurait dispensé la Coop de transmettre une mise en demeure à CFG.

     

    Face à ce défaut, le tribunal rejette la demande en remboursement de 496 650,28 $ présentée par la Coop. Cette demande visait les couts supplémentaires payés à l’entrepreneur chargé de la construction du nouveau bâtiment et à ses professionnels ainsi que les couts engendrés pour la surveillance lors des travaux de tri et d’acheminement de débris vers des sites de récupération en raison du remblayage non conforme réalisé par CFG.

     

    Au surplus, la Coop a été condamnée à verser à CFG le solde contractuel qui était demeuré impayé.

     

    Bien que l’obligation de mettre son débiteur en demeure soit l’objet d’une jurisprudence abondante, il est encore fréquent que des recours soient rejetés en raison du défaut de respecter cette obligation.

     

    Cette décision nous rappelle l’importance de respecter cette exigence.

     


    1. CFG Construction inc. c. Coopérative de solidarité en habitation Carpe Diem, 2022 QCCS 146

     

    Miller Thomson avocats

     

    Miller Thomson avocats

    Cet article est paru dans l’édition du 26 mai 2022 du journal Constructo. Pour un accès privilégié à l’ensemble des contenus et avant-projets publiés par Constructo, abonnez-vous.

  • Coup d’envoi au projet montréalais Haleco

    La cérémonie de pelletée de terre a réuni les principaux acteurs de ce projet à usage mixte : Ivanhoé Cambridge, la Ville de Montréal, Cogir Immobilier et Pomerleau.

    Représentant un investissement de près de 200 M$, l’immeuble de 31 442 mètres carrés (m2) se distinguera par sa mixité d’usages :

     

    • Aux étages supérieurs, un volet résidentiel locatif composé de 327 unités et de 40 logements communautaires réalisés en collaboration avec Bâtir son quartier;
    • Aux deuxièmes et troisièmes étages, des locaux pour bureaux, respectivement de 1974 m2 bruts et 2017 m2 bruts;
    • Au rez-de-chaussée et au niveau mezzanine, un espace commercial d’une superficie brute de 1432 m2 et de 994 m2 (le rez-de-chaussée accueillant un grand marché public ouvert);  
    • Au sous-sol, un espace d’agriculture urbaine d’environ 500 m2.

     

    Quant au garage municipal satellite appartenant à la Ville de Montréal qui se trouvait sur la rue de la Commune Ouest, il sera relocalisé sur la rue Nazareth et occupera le rez-de-chaussée.

     

    Projet gagnant du concours international Reinventing Cities de l’organisation C40, Haleco vise la certification LEED Platine et sa conception, réalisée par les équipes d’ACDF et de l’ŒUF Architecture, mise sur la sobriété énergétique.

     

    Les travaux de construction devraient s’étaler sur une durée d’environ deux ans avec une livraison des premiers espaces locatifs prévue pour l’été 2024.

     

    Source : Ivanhoé Cambridge

  • Salaberry-de-Valleyfield : le parc des Mouettes modernisé

    La Ville de Salaberry-de-Valleyfield a souligné la fin des travaux de la première phase de réaménagement du parc des Mouettes.

    La disposition du parc a été revue afin d’offrir des zones spécifiques à différentes clientèles : jeux d’eau et coin détente, espace pour les tout-petits, station d’exercice, demi-terrain de basketball et modules de jeux pour les 7-12 ans.

     

    En seconde phase, un jardin d’arbustes fruitiers bonifiera l’espace. Un sentier est aussi prévu afin de relier la maison des ainés et sa garderie au cœur du parc.

     

    Le réaménagement du parc des Mouettes a bénéficié jusqu’à maintenant d’une somme de 780 000 $ et d’un apport financier de 87 611 $ du Fonds régions et ruralité de la MRC Beauharnois-Salaberry.

     

    Source : Ville de Salaberry-de-Valleyfield

  • De nouveaux logements adaptés voient le jour à Cowansville

    L’organisme Han-Logement a inauguré un immeuble de huit logements sur la rue Léopold, à Cowansville.

    Ces logements, à prix modiques, sont adaptés et destinés à des personnes vivant avec un handicap physique, intellectuel ou avec un trouble du spectre de l’autisme (TSA).

     

    Le projet, réalisé pour le cout de 1,8 M$, a vu le jour grâce au partenariat financier entre Han-Logement, le Fonds immobilier de solidarité FTQ, le Gouvernement du Québec, par le biais de la Société d’habitation du Québec (SHQ), et le Gouvernement du Canada, par le biais de la Société canadienne d’hypothèques et de logement.

     

    Desjardins Entreprises est aussi un intervenant important en accordant un prêt hypothécaire, appuyé par la Caisse d’économie solidaire Desjardins (Cécosol) et Investissement Québec (IQ).

     

    Source : Fonds de solidarité FTQ

  • Construction d’une nouvelle bibliothèque à Saint-Adolphe-d’Howard

    Le Gouvernement du Québec a octroyé une aide financière de près de 1,3 M$ à la Municipalité de Saint-Adolphe-d’Howard pour la construction d’une nouvelle bibliothèque.

    Le projet de nouvelle bibliothèque permettra le développement de plusieurs partenariats par sa proximité avec le centre de la petite enfance, la Maison des jeunes et l’école primaire de la municipalité.

     

    Avec ce nouveau bâtiment, la municipalité souhaite collaborer au développement culturel de sa communauté non seulement en priorisant l’accès à l’art et à la culture, mais aussi en y intégrant l’histoire et le patrimoine de sa région.

     

    Source : Cabinet de la ministre de la Culture et des Communications

  • Renouvellement de conduites d’eau à Sainte-Geneviève-de-Batiscan

    Une aide financière de 495 495 $ a été accordée par le Gouvernement du Québec à la Municipalité de Sainte-Geneviève-de-Batiscan pour des travaux d’infrastructure d’eau.

    Le projet prévoit le renouvellement de 1 573 mètres de conduites d’eau potable sous le rang Sud pour permettre une meilleure gestion de l’eau distribuée à la population.

     

    L’échéancier des travaux est prévu au printemps 2023.

     

    Source : Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation

  • 3 juin 2022
    Par Elizabeth Pouliot

    L’impression en trois dimensions attire l’attention depuis quelques années déjà et voilà qu’elle investit l’industrie de la construction. Une équipe de chercheurs de l’Université de Sherbrooke travaille à développer une imprimante 3D à béton, caressant le rêve d’un jour imprimer non seulement des éléments modulaires, mais aussi des bâtiments complets.

    On trouve déjà de ces fameux bâtiments imprimés en Chine, où se sont carrément érigés des hôtels à l’aide d’imprimantes en trois dimensions. Des maisons modèles existent aussi à Dubaï ou encore à Nantes. « Je les ai visitées, en France, avant la pandémie », raconte Ammar Yahia, professeur au Département de génie civil et de génie du bâtiment à l’Université de Sherbrooke.

     

    Ammar Yahia, professeur au Département de génie civil et de génie du bâtiment à l’Université de Sherbrooke. Crédit : Université de Sherbrooke

     

    « J’ai appris qu’ils se préparent pour imprimer apparemment une structure à grande échelle encore une fois. Donc, ailleurs ça se fait, surtout à l’échelle industrielle. Ça pousse rapidement. C’est une technologie très émergente. » Dans le domaine universitaire, le professeur et son équipe sont les premiers à travailler sur un tel projet au Canada. L’imprimante qu’ils ont conçue est faite de métal, fonctionne à l’aide d’un moteur électrique et peut imprimer des éléments de deux mètres cubes (m3). Ils en sont à la phase de recherche et développement, concevant puis testant par la suite les éléments imprimés. « On valide la performance des matériaux et on s’assure qu’ils sont bel et bien imprimables à petite échelle », explique le professeur. Les chercheurs s’attellent donc à comprendre le comportement des matériaux, car ils doivent en développer qui s’adaptent à l’impression 3D.

     

    Leurs travaux sont rendus possibles grâce à une chaire de recherche, financée par des partenaires du Québec et par le gouvernement fédéral, par l’entremise du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNGC). « On est sur le point de renouveler ce programme de recherche de cinq ans pour un autre mandat de cinq ans », mentionne Ammar Yahia. Le professeur espère, pendant cette deuxième phase, monter des projets pilotes et imprimer des éléments structurants avec ses partenaires industriels.

     

    Imprimante à avantages

    Mais pourquoi imprimer des matériaux ? Bien entendu, la construction coute très cher. Et un aspect dispendieux important est la mise en place. Installer des coffrages, fixer l’armature, y couler le béton, attendre qu’il durcisse, démonter les armatures et les coffrages : ce processus prend du temps et beaucoup d’argent. « C’est une procédure assez longue et assez complexe, qui représente jusqu’à 40 pour cent (%) du cout total de la construction », confirme Ammar Yahia. L’impression 3D permet de sauter l’étape du coffrage : le béton s’imprime couche après couche, et peut supporter son propre poids, donc nul besoin de coffrages latéraux pour le retenir jusqu’à son durcissement. À la clé ? Une économie en temps et en argent, et la simplification du projet de construction.

     

    L’imprimante est faite de métal, fonctionne à l’aide d’un moteur électrique et peut imprimer des éléments de deux mètres cubes. Crédit : Université de Sherbrooke

     

    Le deuxième avantage de l’imprimante 3D à béton est de procurer une plus grande flexibilité en termes de géométrie, puisqu’elle permet d’imaginer ou de construire des formes plus complexes. « On peut aller chercher des géométries qui, autrement, seraient impossibles à atteindre car elles requerraient des moules très spécifiques, très pointus », explique Ammar Yahia.

     

    En troisième lieu, l’impression en trois dimensions offre des économies en matériaux. « On peut s’assurer de maintenir 0 % de déchet, car tout ce qu’on prépare est imprimé », affirme le professeur. Avec comme point de départ une géométrie à imprimer, on entre un code à l’ordinateur qui permet d’estimer la quantité de matériaux nécessaire. On prépare ensuite ce matériau, on l’envoie à l’imprimante, puis cette dernière fait le travail; aucune perte.

     

    Pour Ammar Yahia, il est clair que l’impression 3D serait fort utile dans le monde de la préfabrication d’éléments modulaires. « C’est le domaine qui s’adapterait le mieux en ce moment à cette technologie. » Depuis déjà longtemps, on construit des maisons préfabriquées en bois. Pour le béton, ça pourrait donc être pareil : préfabriquer des éléments, les transporter sur un chantier et les assembler sur place.

     

    Imprimantes à défis

    Devant cette nouvelle technologie, plusieurs restent néanmoins réticents.   Les gens veulent comprendre, s’assurer que ça fonctionne et que c’est sécuritaire », constate Ammar Yahia. « C’est d’ailleurs un débat entre chercheurs. » La solution ? Promouvoir la technologie et laisser les gens l’apprécier et constater que c’est possible. En tant que spécialistes des matériaux, le professeur et son équipe se butent également au fait qu’ils doivent chercher à réduire l’impact environnemental des matériaux imprimés. « Ils contiennent beaucoup de poudre. Et ce sont des matériaux prototypes, modèles. Il faut donc viser à améliorer le comportement de matériaux à faible empreinte environnementale afin qu’ils soient, eux aussi, imprimables. C’est un défi de taille ! », confie le chercheur.

     

    Ammar Yahia et son équipe espèrent bientôt acheter une imprimante à grande échelle, qui leur permettra d’imprimer des maisons. « Elle se trouve sur un flatbed. On peut la déplacer, faire des démonstrations et imprimer des éléments structurants à l’échelle réelle. » Les chercheurs déposeront sous peu une demande de subvention auprès du gouvernement provincial pour son achat. « Et avec ça, on pourra par la suite songer à imprimer des maisons modèles. »

     

     

    Rappelons qu’à Nantes, en France, se trouve déjà une de ces maisons expérimentales instrumentées. Les scientifiques en place étudient notamment son efficacité énergétique, son évolution dans le temps et son comportement face aux vents et à la pluie. « Construire nous aussi une maison, c’est notre objectif à moyen terme », termine Ammar Yahia.

     

    UN TRAVAIL DE COLLABORATION

    Pour atteindre ses objectifs, l’équipe de génie civil et de génie du bâtiment du professeur Yahia travaille en parallèle avec des chercheurs en robotique. Ces derniers oeuvrent à la conception et à l’amélioration de l’imprimante comme telle. Et pour la concevoir, les deux équipes se sont inspirées de l’imprimante à plastique, qu’ils ont modifiée pour l’adapter à leurs besoins spécifiques. Résultat ? « C’est une imprimante portique à trois axes, X, Y, Z, sur le plan et l’élévation », indique Ammar Yahia.

  • Un nouveau PDG pour l’APCHQ

    Le conseil d’administration de l’Association des professionnels de la construction et de l’habitation du Québec (APCHQ) a confié la direction de l’Association à Me Maxime Rodrigue.

    Membre du Barreau du Québec, Maxime Rodrigue cumule de nombreuses années d’expérience dans l’industrie de l’habitation au service des entrepreneurs en construction. Il a notamment occupé des postes de direction générale à l’APCHQ − Mauricie et à l’APCHQ − Mauricie-Lanaudière. Reconnu pour sa vision stratégique et ses habiletés de négociateur, il est également apprécié pour son leadership franc ainsi que pour la vivacité avec laquelle il porte ses dossiers.

     

    « Je remercie le conseil d’administration pour sa confiance et j’entreprends ce travail avec beaucoup d’enthousiasme, a déclaré Maxime Rodrigue. Mes 25 dernières années au sein de la famille de l’APCHQ ont comme fil conducteur mon attachement à ses origines et la priorité de ne jamais perdre de vue les entrepreneurs. Contribuer à l’avenir de l’habitation du Québec en tant que président-directeur général de l’Association est pour moi un magnifique défi qui prend tout son sens dans une ère où l’accès au logement et la lutte contre les changements climatiques mobilisent toute la société québécoise. »

     

    À l’approche des élections de l’automne prochain, celui-ci travaillera à positionner les enjeux prioritaires des entrepreneurs en matière d’habitation auprès des différentes formations politiques, notamment l’abordabilité et l’offre de logements, l’environnement, la main-d’œuvre ou encore l’allègement réglementaire.

     

    Le nouveau président-directeur général entend également mobiliser et rallier l’ensemble de l’écosystème d’affaires de l’industrie, et ce, afin de faire évoluer le rôle des membres de l’Association pour que toutes et tous deviennent partie prenante des changements et de l’évolution de l’industrie de la construction.

     

    Le mandat de Me Rodrigue débutera le 6 septembre prochain.

     

    Source : APCHQ

  • Mise en chantier de la 5e phase du projet Le Market

    PUR Immobilia a lancé la construction de la dernière phase du projet résidentiel Le Market situé au cœur du secteur Chomedey, à Laval.

    Le nouveau bâtiment de 16 étages sera composé de 122 condos d’une, deux et trois chambres ainsi que de penthouses dotés de vastes terrasses privées au dernier étage.

     

    Les résidents auront accès à plusieurs aires communes : salle multifonctionnelle, piscine intérieure, spa, sauna, salle de billard, salles de conférence et lounge. Deux terrasses seront également aménagées avec foyers et BBQ.

     

    La construction est assurée par l’entrepreneur EMD-Batimo et la livraison est prévue à l’automne 2023.

     

    L’ensemble du projet représente un investissement de près de 185 millions de dollars.

     

    Source : PUR Immobilia

  • Appel d’offres pour le prolongement du corridor Rapibus de Gatineau

    La Société de transport de l’Outaouais (STO) amorce la phase de planification du prolongement de son système rapide par bus, Rapibus, à Gatineau.

    Un appel d’offres est en cours afin de mandater une firme pour la réalisation de l’étude d’opportunité pour le prolongement du Rapibus et de la piste multifonctionnelle, entre les boulevards Lorrain et de l’Aéroport.

     

    L’étude menée en collaboration avec le ministère des Transports du Québec et la Ville de Gatineau permettra de cerner et d’analyser les besoins et les contraintes de ce tronçon et plus particulièrement, de démontrer sa pertinence pour répondre aux besoins actuels et futurs de mobilité. Trois scénarios devront être retenus et étudiés, dont celui qui longe l’emprise ferroviaire.

     

    Parallèlement à l’appel d’offres, les travaux de construction du tronçon de 2,8 km qui reliera les stations Labrosse et Lorrain, en passant par la future station du Lac-Beauchamp, avancent à bon train.

     

    Source : Société de transport de l’Outaouais

  • Réfection de la piscine du Cégep Édouard-Montpetit

    Ce projet sera réalisé dans le cadre du premier appel de projets du nouveau Programme de soutien aux infrastructures sportives et récréatives scolaires et d'enseignement supérieur (PSISRSES).

    Les travaux permettront la réfection complète du bassin de 51 mètres et des plages en céramique, un réaménagement des vestiaires et une mise aux normes du système de ventilation et de déshumidification de cette piscine qui dessert à la fois la communauté collégiale d’Édouard-Montpetit, les élèves de l’école secondaire Jacques-Rousseau et la population de Longueuil.

     

    Les rénovations seront faites selon les principes de développement durable et d’inclusion et permettront, notamment, d’assurer une gestion écoresponsable de l’eau et de l’énergie, de réduire les émissions de gaz à effet de serre et d’offrir l’accessibilité universelle aux services.

     

    Pour ce projet, dont le cout total s'élève à près de 9,9 M$, le Gouvernement du Québec contribuera à hauteur de 5 M$.

     

    L’échéancier des travaux n’est pas encore été fixé.

     

    Sources : Cabinet du ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux et Cégep Édouard-Montpetit

  • Pelletée de terre pour la nouvelle station d'épuration de Sainte-Hélène-de-Bagot

    Une aide financière provinciale de 3 682 285 $ a été accordée à la Municipalité de Sainte-Hélène-de-Bagot pour ces travaux d'infrastructures d'eau.

    Le projet vise la construction d'une nouvelle station d'épuration des eaux usées de type réacteurs biologiques séquentiels. L'ajout d'un bâtiment technique ainsi que la construction d'une station de pompage des eaux brutes et de bassins d'égalisation font aussi partie des travaux qui seront effectués au cours des prochains mois.

     

    L'ancienne station, qui n'est plus en fonction depuis 2018, a été démolie. Des installations temporaires assurent, depuis 2019, le traitement des eaux usées.

     

    L'aide financière provient du volet 1 du Programme d'infrastructures municipales d'eau (PRIMEAU), qui est issu du Plan québécois des infrastructures (PQI 2022-2032). 

     

    Source : Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l'Habitation

  • Le projet d’agrandissement de MiQro innovation reçoit l’appui du gouvernement

    Le Gouvernement du Québec accorde une aide financière à l’Université de Sherbrooke pour appuyer la première phase d’un projet d’agrandissement du Centre de collaboration MiQro innovation (C2MI), situé à Bromont.

    Le projet prévoit l’ajout de plus de 3 000 mètres carrés de superficie, l’aménagement de salles de laboratoire spécialisées ainsi que l’acquisition d’équipements. À terme, les nouvelles installations contribueront notamment à accroitre les capacités de recherche collaborative et à favoriser la conception des composants requis pour la fabrication d’ordinateurs quantiques et d’électronique de puissance.

     

    Évalué à près de 18,9 millions de dollars (M$), le projet bénéficie d’une contribution gouvernementale de l’ordre de 17 M$ issue du Programme de soutien aux organismes de recherche et d’innovation, volet 4 - Soutien au financement d’infrastructures de recherche et d’innovation.

     

    La première phase des travaux devrait être amorcée au printemps 2023.

     

    Source : Cabinet du ministre de l’Économie et de l’Innovation et ministre responsable du Développement économique régional

  • L’école secondaire Thérèse-Martin aura son terrain à surface synthétique

    Le projet de terrain sportif à surface synthétique pour l’école secondaire Thérèse-Martin, à Saint-Félix-de-Valois, a été retenu par le gouvernement du Québec dans le cadre du Programme de soutien aux installations sportives et récréatives scolaires et d’enseignement supérieur (PSISRSES).

    Cette surface synthétique viendra remplacer un terrain naturel déjà existant dans la cour de l’école secondaire Thérèse-Martin et sera aménagé pour la pratique du soccer et du football. Notons qu’une surface synthétique a notamment comme avantage de prolonger la saison pour les sportifs puisqu’elle reste praticable dans de meilleures conditions plus longtemps.

     

    Les estimations réalisées en décembre 2021 projettent un investissement évalué à plus de 4,3 M$. De ce nombre, un montant estimé de 2,7 M$ proviendrait du gouvernement tandis que le CSSS financera approximativement 127 000 $ et la ville de Joliette environ 1,2 M$.

     

    Les appels d’offres sont à venir pour la réalisation du projet et compte tenu du contexte actuel du marché de la construction au Québec, il est possible que ces montants soient revus. Il est prévu de débuter les différents travaux liés à ce projet au cours du printemps 2023.

     

    Source : Centre de services scolaire des Samares
     

  • Une nouvelle maison du personnel d'Air Inuit à Puvirnituq

    La Société du Plan Nord et Air Inuit investissent conjointement 9,5 millions de dollars pour la construction d'une nouvelle maison du personnel de la compagnie aérienne à Puvirnituq.

    La future maison du personnel comptera 25 chambres, soit 15 de plus que le bâtiment actuel. Elle offrira également des installations sanitaires privées adaptées aux mesures découlant de la pandémie de COVID-19.

     

    Les travaux seront réalisés par l'entreprise Kautaq Construction. Une attention particulière sera portée au volet environnemental du projet pendant la construction, afin de maximiser l'utilisation des ressources de la région et de limiter les impacts sur le milieu.

     

    La Société du Plan Nord accorde une aide financière de 3,2 millions de dollars à Air Inuit, qui déboursera, de son côté, 6,3 millions de dollars pour réaliser ce projet.

     

    L'inauguration du nouveau bâtiment est prévue en 2023.

     

    Source : Société du Plan Nord

  • Inauguration du Parc éolien Des Cultures

    Kruger Énergie et Énergies Durables Kahnawà:ke ont procédé à l'inauguration officielle du Parc éolien Des Cultures, situé en Montérégie.

    Les six éoliennes sont érigées dans la portion sud des villes de Saint-Rémi et Saint-Michel. Le Parc est alimenté par un réseau électrique entièrement enfoui.

     

    Ce projet de 70 M$ permettra d'alimenter l'équivalent de plus de 2 500 foyers, et se traduira par la vente d'électricité renouvelable à Hydro-Québec Distribution pendant au moins 20 ans.

     

    Les travaux avaient débuté en aout 2020 et ont été achevés en décembre 2021, dans le respect de l'échéancier et du budget.

     

    Source : Kruger Énergie

  • 1,9 M$ pour une caserne de pompiers à Saint-Robert-Bellarmin

    Une somme de 1 930 829 $ est accordée à la Municipalité de Saint-Robert-Bellarmin pour la construction d'une caserne de pompiers.

    Le bâtiment de deux étages aura une superficie de 392 mètres carrés. Au rez-de-chaussée, on trouvera notamment une salle de lavage, une pièce de décontamination, un espace de rangement et une aire de garage. La mezzanine comprendra des douches, une salle polyvalente avec cuisinette et un bureau administratif.

     

    L'aide financière provient du Programme d'amélioration et de construction d'infrastructures municipales (PRACIM), qui est issu du Plan québécois des infrastructures (PQI) 2022-2023. Lancé en avril dernier, il est doté d’une enveloppe de 600 millions de dollars.

     

    Source : Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l'Habitation

  • 11 juillet 2022
    Par la Direction des communications de la RBQ

    La RBQ profite de la saison estivale pour effectuer certains rappels importants.

    Formation continue obligatoire : une nouvelle vidéo explicative est disponible!

    Vous êtes un répondant en exécution de travaux visé par la formation continue obligatoire ? Vous pouvez dès maintenant visionner une capsule qui détaille les étapes à suivre pour respecter vos obligations sur le site Web de la Régie du bâtiment du Québec (RBQ), au rbq.gouv.qc.ca/formation-continue.

     

    Rappelons que ce sont près de 30 000 répondants en exécution de travaux qui doivent suivre de 16 à 32 heures de formation tous les deux ans afin de maintenir leur qualification pour leur licence. Cette initiative vise notamment à réduire le risque de voir un écart se créer entre les pratiques du répondant en exécution de travaux et les règles de l’art les plus à jour. Gardez le niveau!

     

    Règlement modifiant le Code de construction : mesures de protection contre les gaz souterrains pour tout le Québec

    Ce règlement élargit la portée des mesures de protection contre les gaz souterrains à l’ensemble du territoire québécois en retirant la notion de « zones reconnues à risque ». Il répond ainsi aux recommandations émises par les autorités de la santé publique du Québec et Santé Canada lors de la consultation publique.

     

    En vigueur depuis le 2 juin 2022, ce règlement est une interédition de la mise à jour du chapitre Bâtiment du Code de construction, en vigueur depuis le 8 janvier 2022. Ainsi, la RBQ rehausse certaines exigences en matière de construction afin de mieux protéger les Québécois contre l’infiltration de gaz souterrains, dont le radon.

     

    Modification à l’avis de cotisation postal

    Veuillez prendre note que les détenteurs de licence recevront maintenant un seul avis de cotisation par la poste plutôt que deux. Dans un souci de développement durable, demandez à recevoir vos avis de cotisation par courriel. Pour ce faire, modifiez vos préférences dans la section Communications de votre dossier en ligne au rbq.gouv.qc.ca/miseajour.

     

    Avant de confier des travaux à un sous-traitant

    Un entrepreneur souhaitant faire exécuter des travaux de construction a la responsabilité de s’assurer que le sous-traitant choisi possède une licence avec les sous-catégories appropriées.

     

    Pour ce faire, l’entrepreneur doit prendre connaissance des catégories ou sous-catégories de licence exigées pour les travaux à effectuer à l’aide de la liste des sous-catégories de licence. Il peut, par la suite, se référer au Registre des détenteurs de licence de la RBQ pour s’assurer que le sous-traitant en question possède bel et bien une licence ainsi que la ou les sous-catégories appropriées.

     

    Choisir un sous-traitant qui ne détient pas une licence ainsi que la ou les bonnes sous-catégories constitue une infraction pénale. Les amendes pour ce type d’infraction peuvent aller de 6 044 $ à 30 215 $ (pour une personne physique faisant des affaires seules) ou de 18 130 $ à 90 648 $ (pour une personne morale). 

     

    De plus, il s’agit d’un manquement administratif aux obligations d’un entrepreneur, et ce manquement peut mener à une annulation ou une suspension de la licence. Dans certains cas, un vérificateur de la RBQ peut même aller jusqu’à émettre une ordonnance de suspension de travaux.

    Cet article est paru dans l’édition du 23 juin 2022 du journal Constructo. Pour un accès privilégié à l’ensemble des contenus et avant-projets publiés par Constructo, abonnez-vous.

  • Rio Tinto investit 240 M$ à son aluminerie d’Alma

    Rio Tinto investit 240 M$ pour augmenter de 202 000 tonnes métriques la capacité de production de billettes d'aluminium à faible teneur en carbone et à haute valeur ajoutée à son aluminerie d’Alma au Lac-Saint-Jean.

    Le centre de coulée existant sera agrandi pour accueillir de nouveaux équipements, notamment un puits de coulée et des fours, permettant de convertir une plus grande partie de l'aluminium produit en billettes de plus grande valeur.

     

    La construction commencera en mai 2023, après l'achèvement de l'ingénierie détaillée et les travaux préliminaires, et la mise en service est prévue pour le premier trimestre de 2025.

     

    Source : Rio Tinto

  • Un projet majeur de développement du campus de Polytechnique Montréal

    Le Gouvernement du Québec a octroyé 66,1 M$ à Polytechnique Montréal dans le cadre d’un projet d’acquisition, d’agrandissement et de réaménagement d’espaces dans deux pavillons.

    À terme, dans le cadre de ce projet évalué au total à environ 227 M$, Polytechnique Montréal ajoutera plus de 8 000 mètres carrés à sa superficie nette et bénéficiera aussi de près de 5 000 mètres carrés d’espaces modernisés au pavillon principal.

     

    Pavillon J.-Armand-Bombardier : de nouveaux espaces

    Polytechnique Montréal ajoutera à sa superficie nette les 5 300 mètres carrés d’espace appartenant à l’Université de Montréal dans le pavillon J.-Armand-Bombardier. Une portion de cette nouvelle superficie fera éventuellement l’objet de réaménagements en fonction des besoins de la communauté polytechnicienne.

     

    Également, Polytechnique prévoit se doter d’une superficie nette additionnelle de 2 800 mètres carrés en complément aux infrastructures existantes. D’une part, une aile de cinq étages sera construite sur le côté est du pavillon J.-Armand-Bombardier afin d’ajouter de nouveaux espaces dans l’édifice.

     

    D’autre part, une infrastructure semi-souterraine de deux étages, recouverte d’arbres et de verdure et dotée de sentiers et d’aires communautaires, sera ajoutée au pavillon J.-Armand-Bombardier et reliée au pavillon principal. Le « toit » de cette nouvelle infrastructure offrira ainsi un nouveau passage piétonnier entre l’arrière du campus, où se trouve notamment le chemin de ceinture sur le mont Royal, et les entrées des pavillons principal et J.-Armand-Bombardier. Également, l'infrastructure permettra aux personnes de se déplacer d'un pavillon à l'autre sans devoir passer par l'extérieur.

     

    Réaménagement du pavillon principal

    Polytechnique Montréal procédera également au réaménagement d’une superficie nette d’environ 4 800 mètres carrés au pavillon principal, dans les ailes situées à l’arrière de l’édifice. Ces réfections viseraient principalement la modernisation de laboratoires destinés à l’enseignement et à la recherche.

     

    L’institution poursuivra au cours des prochains mois les étapes de planification et de financement de ce projet, notamment l’élaboration d’un dossier d’affaires et la préparation des plans et devis par le consortium NFOE+DMA+Provencher_Roy en collaboration avec Projet|Paysage. Le consortium gbi+EXP est également impliqué dans le projet pour l'ingénierie électromécanique, et la firme EXP, pour l'ingénierie civile et la structure.

     

    L’université prévoit soumettre un dossier final pour ce grand projet au Gouvernement du Québec au début de 2023. Le projet pourrait commencer au printemps de la même année.

     

    Source : Polytechnique Montréal

  • Marieville va de l’avant avec la construction de sa nouvelle bibliothèque

    La Ville de Marieville a donné le feu vert à la poursuite du projet de construction de sa nouvelle bibliothèque.

    Rappelons que dans la foulée des spéculations sur l’avenir de l’église Saint-Nom-de-Marie, le conseil municipal avait pris la décision en février 2022 de mettre sur pause le projet dans sa forme actuelle afin d’évaluer la faisabilité d’aménager la bibliothèque dans l’enceinte de l’église. Au terme des analyses, il s’avère que la complexité technique liée à la remise en état du bâtiment et sa reconversion entrainerait des délais et des couts importants.

     

    Ainsi, un appel d’offres sera diffusé de novembre à janvier prochain afin que les travaux puissent débuter au printemps 2023 et que la nouvelle bibliothèque puisse ouvrir ses portes au cours de l’été 2024.

     

    Le projet en bref

    La nouvelle bibliothèque sera d’une superficie de 1155 mètres carrés, soit trois fois la superficie actuelle, et sera localisée au même endroit que l’ancienne, sur la rue du Pont, à l’extrémité du parc Crevier.

     

    Le projet inclut l’aménagement d’un médialab, qui permettra à la clientèle d’apprivoiser les nouvelles technologies dont le montage vidéo, la production musicale et sonore ainsi que l’impression 3D. Un espace de travail et des aires de lecture et de détente seront également mis à la disposition des usagers.

     

    Ce nouveau lieu comprendra également une salle multifonctionnelle, un dépôt pour le matériel, un hall d’entrée principale et une aire d’exposition.

     

    C’est la firme Anne Carrier Architecture qui a été désignée lauréate au terme d’un concours d’architecture lancé en juillet 2020.

     

    Source : Ville de Marieville

  • Vacances de la construction : plus de 553 M$ versés aux travailleurs et aux travailleuses de la construction

    La Commission de la construction du Québec (CCQ) a transmis au cours des dernières semaines près de 182 000 chèques de vacances aux travailleurs et aux travailleuses de la construction du Québec, pour un total de plus de 553 M$.

    On constate cette année une hausse de 10 % de la valeur totale des versements, comparativement aux montants versés l'été dernier (503 M$). Cette variation s'explique principalement par l'impressionnante remontée en 2021 de l'activité sur les chantiers de construction.

     

    En effet, le nombre d'heures travaillées dans l'industrie de la construction a augmenté de 21 % par rapport à 2020, atteignant 196,2 millions d'heures. Il s'agit du plus haut volume d'activité enregistré, dépassant ainsi le sommet de 177 millions d'heures, atteint en 2019.

     

    Rappelons que ce sont les employeurs qui versent mensuellement à la CCQ les indemnités pour les congés de maladie, les jours fériés chômés et les vacances prévues aux conventions collectives. Ces montants représentent 13 % du salaire gagné par les salariés durant chaque semaine de travail.

     

    Les vacances de la construction

    Cette année, les deux semaines de vacances de la construction débuteront officiellement le dimanche 24 juillet, pour se terminer le samedi 6 aout inclusivement.

     

    Les vacances demeurent obligatoires pour l'ensemble de l'industrie de la construction, dans tous les secteurs.

     

    Toutefois, les conventions collectives en vigueur dans l'industrie prévoient des exclusions à ce congé estival, dont les travaux prévus dans le secteur Génie civil et voirie. De plus, les travaux d'urgence, de réparation, d'entretien, de rénovation ou de modification peuvent se poursuivre.

     

    Au total, environ 80 % de la main-d'œuvre, des travailleurs et des employeurs se retrouvent en vacances durant ces deux semaines. En 2021, l'industrie de la construction comptait plus de 190 000 salariés et un peu plus de 26 500 employeurs.

     

    Source : Commission de la construction du Québec

  • Création d'un pôle récréotouristique dans la baie de Lachine

    L'Arrondissement de Lachine a lancé une démarche collaborative en vue de la réalisation d'un plan récréotouristique qui intègre les sports nautiques et le développement culturel de la baie de Lachine.

    Plusieurs projets municipaux d'envergure se concrétiseront dans les prochaines années entre le Musée de Lachine et le Quai de la 34e Avenue. Les projets à venir sont :

     

    • Services professionnels pour la réfection du nouveau parc riverain et pour le parc René-Lévesque : démarrage prévu en septembre 2022;
    • Travaux à la Maison de la Culture - Salle de l'Entrepôt;
    • Travaux au Musée de Lachine;
    • Aménagement du projet Quai34;
    • Développement d'un quartier culturel dans la zone.

     

    Des investissements sont également à venir pour le Centre de service aux visiteurs des Écluses -  Écluse no 5, situé sur le territoire du Lieu historique national du Canal-de-Lachine.

     

    Pour assurer le développement d'un plan cohérent, l'organisme Enclume commence dès maintenant son travail d'analyse détaillée du territoire, qui intégrera la vision des partenaires. Le concept final sera communiqué publiquement à l'hiver 2023. En parallèle, les services des grands parcs de la Ville de Montréal préparent les plans et devis dès cet automne pour aménager les espaces sous leur juridiction.

     

    Source : Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif

  • Durée
    7 h
    Organisme
    FORMobile
    Lieu
    Montréal et en ligne
    Description

    Cette formation a pour but de donner les outils nécessaires afin de permettre de comprendre et de départager les aspects juridiques liés aux réclamations des entrepreneurs en construction.

  • Durée
    7 h
    Organisme
    FORMobile
    Lieu
    Drummondville et en ligne
    Description

    Cette formation a pour but de donner les outils nécessaires afin de permettre de comprendre et de départager les aspects juridiques liés aux réclamations des entrepreneurs en construction.

  • Durée
    2 h
    Organisme
    FORMobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permettra au participant de cerner la nature de l’obligation de collaboration.

  • Durée
    2 h
    Organisme
    FORMobile
    Lieu
    En ligne
    Description

    Cette formation permettra au participant de cerner la nature de l’obligation de collaboration.

Assurez une grande visibilité à votre entreprise en l'ajoutant au BâtiGuide,
le plus important répertoire en ligne d'entreprises de la construction.