D’importants travaux de réaménagement à l’Université de Montréal

Après deux ans de travaux préparatoires, les travaux de reconstruction et d’aménagement des futurs locaux débutent dans les pavillons Roger-Gaudry et Marie-Victorin de l’Université de Montréal.

Pavillon Roger-Gaudry

Les travaux ont pour objectif d’assurer la consolidation d’un pôle de la santé grâce au regroupement d’unités appartenant à la Faculté de médecine.

 

Outre le secteur de la santé, certains services administratifs, comme le Secrétariat général, la Division des affaires juridiques ou encore le Bureau des communications et des relations publiques y seront déménagés.

 

Sur un total de 3 500 fenêtres, environ 1 200 ont été remplacées ou sont en voie de l’être dans les secteurs réaménagés du pavillon. De même, tous les lieux qui seront réaménagés ont fait l’objet d’un désamiantage complet ou d’un encapsulage.

 

Pavillon Marie-Victorin

Au pavillon Marie-Victorin, les réaménagements permettront la création d’un pôle des sciences sociales grâce au regroupement de l’École de psychoéducation et de ses divers services. Les aménagements du deuxième étage accueilleront l’École de travail social.

 

Quant au BRAMS, le Laboratoire international de recherche sur le cerveau, la musique et le son du Département de psychologie, les aménagements entamés dans une phase antérieure seront achevés prochainement.

 

Un centre de la petite enfance (CPE) sera pour sa part situé au premier étage.

 

Un budget de 390 M$

Le projet de réaménagement des espaces est réalisé par les firmes BBBL / Jodoin Lamarre Pratte / Provencher_Roy architectes en consortium (pavillon Roger-Gaudry est) et par NFOE + EVOQ architectes (pavillon Roger-Gaudry ouest et pavillon Marie-Victorin).

 

Au total, ce sont 40 000 m2, soit l’équivalent de six terrains de football, qui feront l’objet de travaux majeurs. Près de 80 % des réaménagements prévus seront réalisés au pavillon Roger-Gaudry. Doté d’un budget de 390 M$, ce projet devrait être finalisé en 2026.

 

Les initiatives durables ainsi que l’obtention de la certification LEED pour la conception et la construction des intérieurs (LEED C+CI) sont aussi des éléments essentiels du projet. L’économie circulaire s’est traduite entre autres par la récupération des matériaux lors de la déconstruction.

 

Source : Université de Montréal